Il y aurait pénurie de main d’oeuvre!

C’est faux et archi faux. Il y a plein de gens pour effectuer des tâches simples pour un salaire décent. Ceci étant dit voici ce qu’historiquement, main d’œuvre signifiait. Qu’il manque de gens, supposément qualifiés, au salaire minimum est une réalité absolue. Énoncé ainsi la réalité s’éclaire.

Il manque de diplômés, c’est vrai. Pourquoi? Parce qu’on ne produit que des diplômes, pas des gens qualifiés. C’est une histoire longue que je ne raconterai pas ici, mais, vous avez chacun votre illustration du problème.

Ensuite, on ne reconnaît pas la valeur du travail effectué. On pleure qu’on perd des contrats mais ce n’est que poudre aux yeux. Si on chargeait le véritable prix des biens produits, il y aurait beaucoup moins de demande. Le véritable prix de la main d’oeuvre et des ressources pour les produire.

En cette période de PCU, l’argent s’est mis à couler à flot. C’est une situation temporaire et exceptionnelle. L’abondance de l’argent, au lieu de diminuer les dettes personnelles, du passé, en prévision d’un futur peut-être, probablement, terne, durera peu et a engendré une dépensite (inflammation des dépenses des ménages) aigüe. On braille actuellement pour des employés qu’on mettra à la porte aux premiers jours d’automne financier.

Plutôt que de se contenter de prendre la charge, temporaire, on pleure les occasions manquées parce qu’on est en période extraordinaire. Il y aura des temps sombres, peut-être noirs, c’est certain. Passeront au-travers ceux qui n’auront pas de dettes et ceux qui se seront procurés ce dont ils ont besoin pour vivre.

IL y aura une crise de liquidités terrible et ce sont les riches propriétaires et les riches libre de dettes, qui passeront durement la période, qui risque d’être longue. Il faudra passer au-delà de la période de cylindre et revenir à une pyramide des âges de forme pyramidale pour que ce tourment se règle pour longtemps.

J’espère sincèrement me tromper. Mais on ne fait que pleurer sur les symptômes mais on ignore totalement la maladie et le remède qui s’impose, payer ses dettes, se faire un coussin de ce qu’on a absolument besoin et laisser passer la tempête. Sera-ce une tempête parfaite ou un gros grain? On verra.

Bertrand (@BDmoi)

Qu’en est-il au juste?

Toutes les personnes sont âgées (d’un âge quelconque)

Tous les gens vivants sont en santé (l’état dans lequel il sont)

Mais il n’y en a que quelques-uns qui soient vivants.

Ils utilisent leur énergie et leurs talents

Pour vivre intensément et en tout temps

Comme des être intelligents, pensants

Il y en a très peu qui passent leur temps

À se demander très sérieusement

Ce que leur ont appris les ans

et comment en faire profiter les gens.

Beaucoup attendent la mort, patiemment

Mais il ne leur vient pas finalement

L’idée qu’ils peuvent fort heureusement

Participer à enrichir en communiquant

avec la société et être les grands gagnants

Quand vient le moment

de se demander la cause du manque de tourments.

Plus personne!!

La responsabilité est l’obligation qu’a une personne de répondre de ses actes, de les assumer, d’en supporter les conséquences du fait de sa charge, de sa position, etc. C’est aussi la charge, mission conférée à quelqu’un par une autorité devant laquelle il doit répondre de ses actes. Wikipédia

Plus personne n’est responsable de quoi que ce soit, vis à vis qui que ce soit, pour ses actes et ses inactions. J’introduis ici les inactions dans la définition de wikipédia. Dans notre société, il y a effectivement des actions déplorables de commises. Quelques fois y réagit-on. Je dis quelques fois parce que notre système de justice est plus qu’imparfait. Ceci étant un euphémisme.

Ce qui me pousse à écrire ce texte, ce matin, c’est l’immense publicité faite au rapport de Mme Régine Laurent concernant la protection des enfants. C’est encore et toujours de la poudre aux yeux. On aveugle les gens de bons sentiments. Les médias en font leurs choux gras. Les politiciens se gaussent de leur rôle prépondérant.

La réalité? Tous, nous sommes tous responsables du parcours qui est tracé aux enfants dans notre entourage. Les premiers responsables sont les parents. S’ils ont fait du tort à l’enfant, la loi, la société doit leur en tenir rigueur. Ils viennent de tomber deuxième et de loin. Qu’on leur donne la chance de revoir leur enfant, s’ils se sont amendés peut être possible. Mais leur redonner la garde entière, d’après moi, doit se faire avec parcimonie, après que l’enfant a pris une direction solide dans la vie.

Les politiciens ont la charge de faire les lois et d’allouer les ressources. Mais il nous appartient de signaler et de faire un suivi sur les signalements. J’ai bien de la difficulté avec les priorités des gouvernements. Mais, j’en ai encore plus vis à vis de nos priorités. Un, ce devrait être le bien-être de nos enfants et deux, ce devrait être leur éducation.

Une meilleure société à venir? Les deux prémisses essentielles viennent d’être exprimées. J’ai personnellement fait de gros sacrifices pour le bien de mes enfants. Aujourd’hui ils sont autonomes et sécurisés. Ainsi faut-il faire ce qu’il faut, et sacrifier, la sacro-sainte économie pour mettre les ressources là où il le faut. L’économie prendra soin d’elle-même, maintenant c’est au tour des enfants d’être entourés.

Bertrand (@BDmoi)

Quand on ne sait plus quoi penser!

Quand on ne sait plus quoi penser, que faut-il faire? Je me le demande. Faut-il se couper de tout? Se recentrer sur soi? S’enfermer en solitaire et refaire un monde intérieur satisfaisant? Je crois plutôt qu’il faut remettre ses paradigmes en ordre réel. Le monde réel a sa cohérence et celle-ci nous est inconnue. Un chaos organisé règne. Chaos parce qu’on ne le comprend pas, organisé par que c’est une série de causes et d’effets dans un monde plein d’inertie, où toutes les choses sont en mouvement.

L’augmentation de la vitesse de communication est ce qui rend le monde incompréhensible. Le recul nécessaire pour comprendre ce qui arrive n’est pas possible vu la quantité phénoménale d’informations, de toute sortes, qui nous sont propulsées par des médias plus avides d’agiter que d’informer.

SE faire une idée n’est pas se faire une opinion. L’opinion vient après. Pour se faire une idée il faut partir de ses sens propres et réels. Il faut donc faire abstraction de toutes les télécommunications. Il faut observer ce que nos yeux voient, nos oreilles entendent et tout le reste. Ce sont ces choses qu’il faut généraliser. Prendre le temps de les voir et les analyser.

Si on généralise les anecdotes rapportées dans tous les médias, le monde est fou et déconnecté. Mais l’est-il vraiment?

Bertrand (@BDmoi)

Justifier n’est pas légitimer!

On utilise toute sortes d’affirmations, plus ou moins véritables, pour justifier des actes qui ne sont pas légaux, donc illégitimes. Justifier veut dire innocenter. Vous me voyez venir? Et oui! La fameuse manifestation. Tant a été dit que je ne reprendrai pas ici. Cependant une chose me heurte au plus haut point.

On ne peut, sous aucun prétexte, se servir d’une ignominie commise ailleurs pour expliquer nos actions actuelles. Dire que ma liberté est amoindrie et que j’ai le droit de manifester est un fait reconnu de tous. Mais justifier de causer la fermeture d’un centre de vaccination important est impossible.

On peut manifester sur la planète au complet, mais, manifester où des gens expriment leur liberté d’être vacciné est chercher le trouble. J’utilise le parallèle des cliniques d’avortements. On a fait appel à la police pour faire respecter le droit des femmes. Et c’était ce qu’il fallait faire.

Peut-on mettre un peu de réalité dans nos gestes et rendre légal ce que l’on fait légalement? Autrement dit, je n’ai pas de joie à dire que les constats auraient dû pleuvoir lors de la manifestation. Le nombre fait-il la légitimité du geste? Allons faire un hold-up à 300 pour voir? Ridicule.

Bertrand @BDmoi)

L’eau s’est encore réchauffée!

En 2018 j’ai écrit ce texte : http://bdmoi.mdugre.info/formons-nous-encore-une-societe/ que je vous invite à lire ou relire.

J’y disais que je me sentais comme une grenouille qui saute hors du chaudron suite au réchauffement excessif de l’eau. Était-ce sensibilité de ma part? Était-ce lubie des réseaux sociaux? J’ai retrempé un pied dans l’eau et celle-ci est définitivement plus chaude qu’au moment où j’ai écrit mon texte précédent.

La polarisation s’est non seulement accélérée mais elle atteint des niveaux de disparité sociale jamais éprouvée ici, au Québec. Tout, ou presque, oppose tout le monde ou presque. Est-ce vrai? Dans la vérité représentée par les médias c’est vrai. Mais, dans la réalité vécue avec les gens véritables, ce n’est pas aussi vrai.

Les médias pissent, et je choisis mes mots, sur les réseaux sociaux. Ils en font leurs choux gras. Mais il faut à la vérité de dire que les médias sociaux ne représentent que 25 à 30% des gens. Les médias se font les porte-parole tonitruants des hurluberlus qui répandent de la boue. Ils représentent, les hurluberlus, environ 20% de la population des réseaux sociaux. Ceux-ci s’attaquent aux notables, ceux qui ont une notoriété, et répandent leur fiel ad nauseam. Ils se tweetent et se retweetent abondamment.

Donc, la température de l’eau a-t-elle changée depuis deux ans? Les médias essaient de la réchauffer au max, pour en tirer profit. Mais je dois à la réalité de dire que je ne le sais pas, si l’eau s’est réchauffée. Pourquoi? Parce qu’on n’a pas d’information sur la réalité de la situation. Ceux qui sont chargés, et payés, pour nous informer sont trop pris dans une guerre d’influence avec ce qu’ils prennent pour des concurrents, soient les réseaux sociaux.

Donc, prenons notre gaz égal, et cessons d’encourager tous ceux qui essaient de nous influencer et apprenons à faire confiance à nos sens pour percevoir ce qui se passe autour de nous et rafraichissons-nous de l’eau qui coule sous les ponts.

Bertrand (@BDmoi)