Pénurie de retiens-toi?

Il y a pénurie de bien des choses actuellement dans notre société. Pénurie de main d’œuvre qualifiée, pénurie de travailleurs au salaire minimum, pénurie de bien d’autres choses. Mais, d’après moi la pire pénurie est la pénurie du retiens-toi.

SE retenir, de quoi que ce soit, semble une chose de moins en moins possible. Que ce soit d’uriner sur la voie publique ou le terrain privé, ou encore pire, c’est de se retenir de répliquer à l’opinion d’une autre personne qui soit en phase d’abolition.

On a le droit de parole, oui, mais nulle part est-il dit qu’on a l’obligation de parole. Je le fais ici,non pour répliquer à personne, mais pour essayer de changer l’atmosphère sur le réseau. Je suis convaincu, que pour la majorité des personnes, la TL est assez ponctuée de civisme. Les personnes publiques et celles qui ont une certaine notoriété se plaignent de recevoir des réactions désobligeantes. C’est possible mais, c’est la rançon de la gloire. Elles ont le choix de bloquer, de dénoncer, mais s’en plaindre à coups d’articles dans les médias?

Les réseaux sociaux ont mauvaise réputation. Il y a environ 25% à 30% de la population sur LES réseaux sociaux. 10% de celle-ci représente l’ensemble des mal intentionnés sur ceux-ci. C’est mon estimation. Libre à vous de la contester. Mais 3% de la population qui fout la merde est un bon score. Le moins de 1% qui disposent d’une tribune pour décrier le fait que ceux qui ont une seule petite tribune les vilipendent est presque indécent.

Alors on se retient un peu, on dit ce qu’on a à dire pour les meilleures raisons possibles et la vie continue. Les réseaux sociaux ne sont pas si pire que ça. Dans la grande majorité les gens sont pleins de civisme. Mais les,médias ne parlent que de ce qui ne marche pas. Peut-être devraient-ils aussi faire preuve de retiens-bien?

Bertrand (@BDmoi)

Écouter? Est-ce possible?

Bien des gens disent écouter mais en fait, ce n’est qu’une pause dans un monologue. On poursuit une idée pour imposer son point de vue. Il est possible d’écouter mais c’est très peu répandu. Les gens pensent à ce qu’ils vont répondre et n’entendent que le début de la parole de l’autre pour ménager sa réponse.

Écouter c’est être présent, ce n’est pas débattre. On doit abandonner le but de la conversation pour regarder sous chaque pierre que l’on retourne. À chaque étape est-il permis de se questionner, de questionner l’autre. L’écoute c’est le but inhérent de la conversation. But tellement important que, sans lui, y a-t-il communication possible? Transmission peut-être? Mais y a-t-il communication? Compréhension?

L’écoute ne se fait pas à brûle pourpoint mais en étant dans les bonnes dispositions. Les gens, dans leurs échanges, ont des buts précis. Voilà le principal bruit dans la communication. Ce bruit est si intense que l’on n’entend pas le point de vue de l’autre. On se demande juste si on s’approche de notre but ou pas.

Il est possible de bien écouter mais cela demande un prix exagéré pour la plupart. IL faut arrêter et se rendre disponible à l’autre. Ainsi est-il possible de voir une partie du point de vue de l’autre. Mais qui en a les moyens?

Bertrand (@BDmoi)

Je n’ai rien contre l’amour mais…

Je n’ai rien contre l’amour mais j’en ai contre les amoureux(ses). Si on définit l’amour comme un sentiment d’attraction vers quelqu’un ou quelque chose, j’en serais presque satisfait. Cela expliquerait la diversité des comportements tordus auxquels on assiste quotidiennement, autant dans les médias que dans la vie courante observable autour de nous.

L’amour profond des poètes et des chantres existe très peu. Amour est plutôt synonyme de baise et de partie de jambes en l’air. L’instinct sexuel est débridé dans notre société. L’exemple que l’on donne aux jeunes est primordial et peu instructif pour ceux-ci.

Faut-il se surprendre qu’il y ait tant d’hommes violents, de femmes violentes, d’hommes et de femmes violenté(e)s. L’ensemble des violences physiques et psychologique est grandement répandu. Mais il y a une cause. Et c’est l’idéalisme de l’amour dans lequel on élève les enfants. On a beau dire mais les enfants reproduisent ce qu’ils VOIENT. Quelle est la vision de l’amour dans notre société: attentes irréalistes, dépendance financière et psychologique, manque d’image saine de soi et de son autonomie, besoin immodéré d’un ancrage dans la vie et j’en passe.

Toutes ces chansons et allusions à des amours qui ne sont pas réelles, soit attraction, mais dépendance à une image, une apparence que nous projetons sur l’autre. L’amour existe encore, mais fortement dilué dans une grosse dose d’hormone.

Bertrand (@BDmoi)

Importer la douleur au lieu d’exporter la chaleur!

Importer la douleur des pays en état de guerre est notre lot. On laisse immigrer des gens qui ne veulent que poursuivre la guerre dont ils se préservent. Ils viennent, certains et pas tous, continuer le combat en se préservant des contrecoups. Il faut absolument effectuer un contrôle sur l’entrée de gens des pays en guerre. Viennent-ils ici en mission ou en démission? Ceux qui veulent se refaire une vie, à l’abri des actes des autres, sont les bienvenus. Ceux qui veulent importer les habitudes de leur pays en destruction ne le sont pas.

Les actes de Montréal, hier, où les manifestants palestiniens et israéliens se sont affrontés démontrent combien beaucoup n’ont pas intégré nos valeurs et nos us. Tous les actes violents, où qu’ils se produisent, sont condamnables.

Il faut faire tout en son possible pour ménager la paix qui existe ici. IL faut donner l’exemple de la conciliation si c’est possible. Mais, malheureusement, on se met à prendre position d’un côté ou de l’autre. Nous sommes loin d’être des pacifiques, attention j’ai pas dit des pacifistes, mais j’ai bien dit des pacifiques. En prenant position, on devient belligérant. C’est un fait et on est sur la mauvaise piste.

Bertrand (@BDmoi)

L’exemple des USA?

Est-il une bonne nouvelle et un bon exemple issu des États-Unis? Biden qui parle sans masque, sans distanciation. Il aurait, selon la CDC, atteint la bonne dose de gens vaccinés à plein (2 doses). Même le célèbre Dr. Faucci serait d’accord.

Nous sommes en retard par rapport aux États-Unis. C’est vrai. Mais de grâce, encouragez vous ça s’en vient. On en a la preuve. Il y a des avantages et des inconvénients à être deuxième. Le constat de notre faiblesse à produire des vaccins. Mais on voit que le nombre de cas baisse. Exiger un plan daté de sortie des contraintes sanitaires est , d’après moi, difficile à justifier. On peut demander à avoir une idée, mais tant de variables sont en cause.

Dater un plan est impossible. En tracer les lignes est un bon moyen d’encourager les gens à se faire vacciner et aide à maintenir le moral. Dire que l’On est tanné est un euphémisme. Mais faut-il réitérer que les gens du réseau de la santé et les gens responsables des entres de vaccination le sont aussi.

Alors les USA sont une vision possible d’un futur pas si lointain. Vaccinons au plus vite et sortons profiter des relations avec les autres.

Bertrand (@BDmoi)

La liberté, ce qu’elle implique!

La liberté est un concept galvaudé dans notre société. Je vous suggère de lire l’article de Wikipédia à ce sujet https://fr.wikipedia.org/wiki/Liberté

L’angle, sous lequel j’aimerais traiter ce sujet, est celui de ceux qui entourent la personne libre. Si la personne est libre de ses pensées et de ses actes, les autres n’ont rien à lui opposer que leur conception à eux. Par fait c’est un déni de liberté. On doit accepter le choix de l’autre. On peut le déplorer, émettre son point de vue ou mieux demander le point de vue de l’autre, mais, on doit l’accepter car c’est sa liberté en jeu.

Liberté de choix implique obligation d’assumer les résultats, pour la personne. Donc obligation de constater les résultats pour la personne qui observe. Si la personne qui a choisi est vivante, l’assommer de reproches ne change rien et ajoute à son désarroi. Si la personne est décédée, c’est plate à dire, mais on ne peut rien y changer.

Tout réside dans le libre-arbitre et la non-contrainte par une tierce personne. Dire qu’il a été influencé par X ou Y est vain. C’est votre conception. Il a accepté la croyance aux dires de X ou Y, c’est donc devenu partie de sa vérité. Notre vérité est personnelle et guide nos actes.

Je sais, c’est difficile, dans notre société, d’accepter la vie telle qu’elle est. La liberté est un concept noble que l’on doit viser. Un article que je vous invite à lire: https://fr.wikihow.com/s%27occuper-de-ses-propres-affaires

Vive la liberté qui libère les relations interpersonnelles.

Bertrand (@BDmoi)

Il y aura une guerre!

Il y aura une guerre malgré les efforts de connaissance, malgré les moyens de communication, malgré les supposées marques de coalition et de coopération…

Pourquoi y aura-t-il une guerre? À cause de la méconnaissance des autres, des moyens de communications pervertis, du manque de coopération…

Nous pensons avoir évolué. Rien n’est plus faux. La guerre étant passée on est retombé dans l’individualisme de plus en plus forcené. On ne peut se souvenir, on n’était pas là. Ceux qui ont vécu sont morts ou parqués dans des mouroirs où personne ne va les voir.

L’humanité n’a pas appris et n’apprendra jamais. Je ne l’ai pas vu? Ce n’est pas vrai est de plus en plus répandu. C’est triste mais c’est ça. All you need is love but love, for many is only sex. (L’amour est ce dont on a besoin mais pour beaucoup cela ne signifie que le sexe).

Il y aura une guerre. DE fait elles est commencée depuis longtemps. Depuis l’âge des cavernes, a-t-elle jamais cessé? Je ne crois pas. Et on se dit civilisés?

Bertrand (@BDmoi)

Liberté d’être???

Sommes-nous libres d’être, être ce que nous sommes. Un article https://t.co/xh7OtN3rcu

paru dans la Presse de ce matin, met le doigt sur un problème majeur dans notre société. Après s’être débarrassés de la pression à la conformité induite par les religieux, on continue mais à un degré beaucoup plus pernicieux. Maintenant on juge le comportement de l’autre à l’aune de notre propre comportement. Le plus grave c’est qu’on généralise l’autre suite à notre évaluation d’un élément de sa personnalité.

Certains n’ont de cesse de dire, et j’en suis, il faut se connaître soi-même et satisfaire ses besoins propres. Mais il y a tous les autres hurluberlus qui se permettent de commenter le choix ou l’essence des autres. C’est un travers fortement répandu.

Les conséquences de cet état de fait sont nombreuses. Je n’en nommerai qu’un ici, c’est le taux effarent de consommation de drogue, d’antidépresseurs, de suicide. Le bullying social est fortement répandu. On a beau se dire évolués, nous sommes petits dans nos jugements et rapetissons ceux qui sont différents. On essaie de se sentir supérieur aux autres. La seule façon d’être vraiment supérieur, est de se sentir bien dans sa peau. Peut-être est-ce la raison qu’on dénigre ceux qui le sont, pour les ramener à notre niveau d’inconfort?

Bertrand (@BDmoi)

Ceux qui disent…

Ceux qui disent : les gens se moquent de nous, nous prennent tous pour des… Font la même erreur que ceux qui vilipendent les…

Généraliser, plutôt que d’identifier ne donne que division et logique binaire. C’est triste et tellement réducteur. Il faut nuancer nos paroles et nuancer surtout nos pensées. IL faut presque abandonner l’usage de “LES” pour exprimer la grande diversité des opinions des quelques gens qui agissent d’une certaine façon.

Il est possible, en cette journée de la fête des Mères de parler à toutes les mères. Mais c’est une chose où certains diront que ce n’est pas vrai. Comme moi. Ma mère est morte et disparue depuis for longtemps. J’en ai de bons souvenirs mais il y a longtemps que je n’ai pu la prendre dans mes bras.

Alors, même si vous ne pouvez la câliner aujourd’hui, puissiez-vous jouir du fait que la vôtre est vivante, et rendre ses vieux jours plus agréables.

Bertrand (@BDmoi)

Prime et déprime!

Ce matin j’ai réalisé une grande compréhension du problème de la société. C’est la déconnexion du gouvernement d’avec la compréhension du comportement individuel. Ce qui m’a allumé c’et la réaction de plusieurs anesthésistes à la coupure de la prime de ponctualité. En gros on donnait une prime pour être à l’heure. On a coupé cette prime et alors est apparu le problème.

Dans l’entreprise, un manque de ponctualité est contrebalancé par une perte de revenu et à l’usage d’une perte d’emploi. Ça fonctionne très bien et c’est généralement admis dans la société. Mais le gouvernemaman lui, encourage au comportement acceptable plutôt que de décourager le comportement déviant. C’est ne pas comprendre la logique de l’individu. La peur de perdre, demeure toujours, la prime devient habituelle et ne motive plus.

Notre société est divisée parce que les lois ne sont pas respectées. Les peines encourues sont minimes et l’infraction à la loi devient permise. La seule chose que peut faire un gouvernement pour ressouder la cohésion sociale est de rétablir le cadre dans lequel certains actes sont permis et d’autres sont PUNIS. Là est le problème majeur d’après moi. Le laxisme du renforcement des lois et des jugements des tribunaux et des sentences adjugées est la cause de tous les problèmes de notre société.

Chacun fait sa justice et celle-ci n’est pas rendue. Les gens ne sont pas imputables de leurs actions. On ne reconnaît pas les bonnes et on ne punit pas les mauvaises. C’est la source d’une insécurité grandissante et d’une augmentation de la dissidence.

Je peux sembler extrême, mais pensez-y, le sentiment de sécurité d’un enfant vient avec un cadre défini et des conséquences claires à la sortie de ce cadre.

Bertrand (@BDmoi)