Antisémitisme ou racisme c’est pareil, intolérance à la différence.

Que l’on parle d’antisémitisme, de racisme, d’homophobie ou de toutes les phobies possibles, il est une constante immuable. L’intolérance et la violence de sentiments.

L’intolérance, maladive, à la différence est rendue telle que la vie en société est rendue presque impossible. Et je m’explique. Chacun en est rendu, dans notre environnement, à vouloir être reconnu pour ce qu’Il est. Mais personne ne cherche à connaître l’autre. Alors, comment espérer être reconnu par quelqu’un qui ne nous connaît pas? Infantilisme des attentes de bien des gens.

Le manque de cohérence total entre les attentes des gens et le comportement normal d’un humain, crée des tensions exacerbées par la nécessité de dopamine dont beaucoup dépendent. Le rythme de vie est dément, le temps pour assimiler la réalité du monde, diminuant, on est pris dans une spirale d’un maëlstrom psychologique monstrueux.

L’acceptation du monde, tel qu’il est, est la première étape d’une solution possible. Mais elle commence par nous, chacun de nous. Brailler sur le fait que les autres sont intolérants ne nous rend pas plus tolérants.

Nous sommes supposés être plus au fait des choses de la vie et de la psychologie humaine. Supposés est le mot juste. Mais sommes-nous tellement centrés sur nous que les autres ne sont qu’accessoires à la satisfaction de nos propres besoins.

J’ai beau écrire ceci, je le crois fermement, et je l’ai constaté pendant les 20 ans passés à faire du bénévolat. Bien souvent ne sommes nous reconnus qu’à la lumière du dernier service que nous n’avons pas pu rendre. C’est triste mais est-ce ma vision de la réalité vécue.

Bertrand (@BDmoi)

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