L’itinérance est être sans abri.

Comment résoudre le problème d’itinérance? Réunion de bien nantis pour résoudre le problème des sans abri. Mais il y a un problème beaucoup plus grave., C’est celui qu’ils sont bien pourvus ces nantis et bien nourris. QU’ILS fassent leurs délibérations sous le ciel et coupons leur l’alimentation. Alors, avec un peu de temps, arriveront discussions et éléments de solution.

Il n’y a pas une solution qui tienne. Chercher LA SOLUTION est permettre à la situation de perdurer et d’empirer. Il y a trop d’occasions de palabres et de discussions. Il faut absolument passer à l’action. Promettre du pognon n’est pas une solution. Payer pour la construction est une avenue mais encore faut-il revoir toutes les règlementations. Un moyen rapide? À part le code du bâtiment, défaire toutes les règlementations. Du moins temporairement. Y aurait-il développement anarchique? C’est possible. Mais il y aurait développement.

On ne règlera jamais la situation à 100% pour 100% de la population. Mais y a-t-il une grande marge entre 100% et régler le cas de 10000 itinérants à MOntréal seulement?

Bertrand (@BDmoi)

Demandez et vous recevrez?

Demandez et vous recevrez, quoi? Là est toute la question. Pas nécessairement ce que vous avez demandé et encore, peut-être un refus total. Bien des gens demandent bien des choses mais ils ne savent pas ce que veut dire demander, ils exigent… comme un droit comme un dû.

Notre société produit des individus absolument gâtés. Trouvant très facilement ce qu’ils désirent, la publicité omniprésente et insistante, mais, n’ayant pas les ressources pour acquérir tout ce qu’ils veulent.

Là est rendu l’individu moyen, s’il y en a. Je rencontre, jour après jour, des gens dotés d’une chance incroyable. Ils sont en vie. Ils exigent tout de la vie: la joie, le bonheur, l’argent, les gâteries le sexe et l’amour (font-ils la différence?) et tout ce qui entre par les sens et atteint le cerveau.

Il est une notion qui s’est répandue dans l’ère industrielle, l’insatisfaction relative. Les gens, la plupart, ne voient plus ce qu’ils ont, ils ne font que voir et réclamer ce qu’ils n’ont pas. Ils ont peur de leur voisin et ne voient pas la sécurité relative de nos sociétés.

Je leur dis ceci: braillez et vous pisserez moins. Vous laissez échapper la vie et vous croyez que tout vous est dû. N’entend-on que les babyboomers, la plupart des chroniqueurs en sont (J’en suis mais je me soigne), hurler contre tout et surtout contre le gouvernemaman.

Les médias perdent la guerre de la publicité? Tant pis pour eux. Ils l’auront bien cherché avec l’infotainment. Divertir fait un temps mais, informer, tient tout le temps. Que faisiez vous au temps chaud? Je divertissais ne vous déplaise et bien dansez maintenant.

Bertrand (@BDmoi)

poème aux politiciens

ce témoignage prouve
que l’on découvre
que le citoyen a besoin
de se satisfaire au besoin
et non à celui des politiciens
qui ont à coeur la réalisation
de leur propre ambition
dans les GRANDES conceptions

https://www.lapresse.ca/dialogue/courrier-des-lecteurs/2023-09-13/temoignage/rem-que-des-deceptions.php?utm_campaign=internal+share&utm_content=twitter&utm_medium=referral&utm_source=lpp&redirectedFrom=https%253A%252F%252Fplus.lapresse.ca%252Fscreens%252F5868d85c-8bcb-4cd1-8340-d2bb42b101cb__7C___0.html%253Futm_campaign%253Dinternal%252520share%2526utm_content%253Dtwitter%2526utm_medium%253Dreferral%2526utm_source%253Dlpp

il faut se rendre à l'évidence
que tout n'a pas l'importance
que le médias veulent bien
donner aux politiciens
La plupart des citoyens
vaquent à leurs occupations
et n'ont d'autre préoccupation
que celle de la satisfaction
des besoins de  la population
alors que les gens de conception
n'en ont que pour leurs réalisations
Faut-il désespérer
NON! il faut changer
la constitution
qui est hors de raison
par les agissements
des gouvernements.
L'absolu des principes en cause
est que l'On dispose
du bien des citoyens
sans qu'ils n'y puissent rien
Il faudra bien se rendre
à devoir entreprendre
une responsabilisation
des gens issus de l'élection

Et si le bonheur des uns faisait le bonheur des autres?

La vie n’est pas que calcul de profits et pertes. Pour bien vivre il faut tout d’abord investir, que dis-Je? S’investir. Nos talents, nos qualités ne servent à rien, si on n’y met pas le temps. Vivre c’est s’investir et les intérêts qu’on en retire se mesurent en bonheur pour nous et pour ceux autour de qui on rayonne.

Je m’arrête là. Tout ce que je pourrais dire, vous le savez déjà. L’avez vous pratiqué assez longtemps, et laissé les actes produire leurs effets? Si oui, je prêche à des convertis. Si non? Il n’est jamais trop tard, le temps que l’On respire, pour essayer.

Quelle importance le temps qu’il reste? Zéro! vous êtes en vie pour le restant de votre vie. Une action, une parole peut ne prendre qu’une seconde et produire un immense effet pour le reste de votre vie.

Bertrand (@BDmoi)

Être entendu? Est-ce assez?

Être entendu, est-ce assez? Il est une chose d’être entendu et il en est une sacrée autre d’être compris. La vraie question est-elle plutôt: ENTENDRE EST-CE SUFFISANT? FAUT-IL COMPRENDRE?

La communication réelle, en cette période, est excessivement difficile. Trop d’éléments créent un brouillard dense où les gens ne se rejoignent plus. Les réseaux sociaux ressemblent à une mer de brume où les bateaux sonnent de la corne sans se voir et sans se rejoindre.

Nous sommes pris dans cet environnement ou le contact avec l’autre fait peur. ON a peur de le heurter et celui-ci avance dans le brouillard. Toute vision lui fait peur. Il a peur de heurter la côte et de sombrer. Voir arriver une ombre est une calamité. Chacun avance lentement et déploie ses sens pour éviter de sombrer. Le moindre bruit, à part le clapotis des vaguelettes, fait sursauter. On invente toutes les possibilités et il n’y a qu’une réalité.

C’est une vision apocalyptique du monde? Mais n’explique-t-elle pas, en partie, ce qui se passe dans notre monde dit, civilisé. Bien des personnes, plutôt que d’essayer de comprendre le message, interprètent leurs sensations en fonction des émotions qu’elles ressentent. Personnellement, j’en fais l’expérience tous les jours. Si ça n’arrivait qu’à moi, je penserais aussitôt que c’est moi le problème. Mais je le vois partout. Les gens sont frustrés, agressifs et même colériques. La tension sociale est extrême et fournit plein de bois aux allumeurs de feux que sont les chroniqueurs de médias. Je les appelle des “commèrementateurs”. Ils ne font que provoquer et entretenir le climat émotif de peur. J’en suis totalement désespéré.

Il faut savoir se hisser au-delà du brouillard et voir l’état réel du monde où le soleil luit. Ainsi pourrons-nous nous repérer face à notre environnement et sécuriser nos craintes, bien souvent, infondées. Suffit-il bien souvent de se tenir debout pour apercevoir le soleil et les environs. Les gens semblent marcher le dos courbé sous le poids de leurs préoccupations. C’est triste mais, à trop penser aux problèmes du passé, on projette sur le futur et on désespère dans le présent qui n’en finit jamais.

Il faut délaisser ses préoccupations, s’élever et prendre contact avec le monde réel. Facile à dire mais… c’est le genre de chose que l’on dit que l’on aurait dû le faire bien avant… quand on l’a fait.

Bertrand (@BDmoi)

Qu’aurait l’air le Monde si on laissait les citoyens décider?

Qu’aurait l’air le Monde si on laissait les citoyens décider? On parle d’incivilité dans les médias et dans les officines gouvernementales. Mais qu’en est-il exactement? Trop c’est trop mais, c’est quoi trop? et pour qui?

La réalité est double, d’après moi. Elle est que les médias exposent de façon contradictoire les gens des deux côtés de la barricade. Les angles choisis par les médias mettent l’emphase sur l’opposition entre les gens plutôt que sur les causes d’opposition, qui sont, entre autres:

  • Attentes démesurées des gens provoquées par les autres (politiciens, publicistes, marchands et tous les intervenants sociaux…)
  • Déresponsabilisation des pouvoirs (élus, fonctionnaires, syndicats et autres)
  • Système de justice débordé
  • Incompréhension des mots et émotivation effrénée des comportements.
  • Vitesse inhumaine des interrelations et disparition des nuances.
  • Obligation de résultats demandée à la population plutôt qu’une obligation de moyens
  • Il y a bien d’autres faits à relever mais l’idée est là.

Le mode de vie des gens est conditionné par l’ambiance qui est promulguée par les médias et les politiciens. J’en suis absolument convaincu. En prime, la société a conçu le système de justice et de lois pour baliser les actes des citoyens. Mais aucune loi n’exige l’emploi des mots justes, surtout de la part d’une partie de la société qui est peu habile dans le maniement de la langue.

Toute l’emphase est mise sur l’opposition et sur le caractère négatif des mots. Qu’on ne puisse plus utiliser des mots définis par le dictionnaire, est une aberration.

La pression psychologique et même physique est telle, dans notre société, et le pouvoir des gens est si nul que les nerfs sont à fleur de peau chez certains, plus faibles ou au contraire très fortement impliqués.

Il faut réduire la pression dans la marmite sociale. De plus en plus de gens, pour survivre, débarquent de la société active. Il nous faut absolument mettre l’emphase sur la réalité de la MAJORITÉ DES GENS. La plupart des gens ont une vie relativement paisible. Ils agissent selon leurs intérêts dans le respect du droit des autres. Toujours répéter la litanie des exceptions des exceptions à cette réalité nous fait voir un côté sombre, extrêmement sombre, de la vie sur Terre.

L’émotivité est exacerbée dans tous les sens et c’est pourquoi il faut se détacher des télécommunications, toutes les télécommunications. La vitesse et l’impolitesse des outils de communication est tellement inhumaine. Les télécommunications ont préséance sur la relation entre deux personnes physiquement en présence l’une de l’autre.

IL nous faut absolument rétablir l’ordre de priorité de la démocratie. La majorité du peuple doit sentir qu’elle a le pouvoir sur la destinée de la société. Ce N’est pas le cas actuellement et la situation se détériore à vitesse grand V depuis la pandémie.

Parmi les 1700 textes que j’ai écrits il y a plein d’idées sur la façon d’y arriver. Propager l’accessibilité au bonheur et l’immense pouvoir dont on dispose personnellement sur SA vie sont la base des soins à apporter dans le futur. Mais ne suis-je qu’un rêveur de le penser possible?

Bertrand (@BDmoi)

L’inclusivité ne se fait pas avec des mots.

Les lois sont des mots vides de sens. La preuve? Il faut prendre des avocats pour interpréter et un juge pour extirper ce qu’il pense la réalité voulue par des gens qui ont débattu des heures et des heures pour modifier des virgules. Je suis assez bon en Français et j’ai lu le code civil. Rajouter des mots à toutes les sauces ne changera rien. Changer la signification des mots ne changera rien.

La réalité est la réalité. Pour vouloir la changer il faut des actes et non pas des sermons. Il faut redéfinir les lois et les rendre applicables mais, surtout, appliquées. On ne peut empêcher de se sentir comme on se sent. Aussi n’est-on pas responsable de quelque sensation de la personne. Autrement dit, si une personne se sent exclue, c’est SON PROBLÈME. Pas que c’est de sa responsabilité mais bien que c’est son problème à elle. Aussi appartient-il à elle de le régler. Lui en donne-t-on les moyens? Là est la question piège. Ne sommes nous que des mots dilapidés par des politiciens, des médias, des groupes et toutes sortes de gens plus ou moins naïfs ou mal intentionnés.

Les lois doivent être des principes, acceptés socialement. Je vais prendre le cas de la religion musulmane, qui se sent brimée par des diktats de certains de leurs religieux dans notre société que l’On veut laïque. La veut on laïque? Si oui, un référendum et proclamons le principe laïcité et ce qu’Il sous-tend. Exemple: la laïcité est proclamée dans la sphère publique. Ainsi les signes distinctifs de toute appartenance religieuse, de quelque religion que ce soit, doivent être personnellement interdits dans l’espace publique. Le prosélytisme y est interdit. Ce simple exemple prendrait des années de discussion pour en arriver au référendum.

3 choses empêchent la résolution du problème: la défaite totale de la démocratie face à l’idéal personnel, la faiblesse des politiciens et il n’y a pas d’endroit où l’On puisse discuter publiquement dans le respect.

Donc il faut se rendre compte, que tous les mots prononcés à gauche et à droite ne sont des des mots et faut-il les laisser circuler sans se causer de problème. Les actions ne viendront jamais, du moins pas de notre vivant, peu importe l’âge que vous avez.

Bertrand (@BDmoi)

un fait peut-il être dégagé de son contexte?

Un fait peut-il être dégagé de son contexte? Peut-on dire: l’eau bout à 100 degrés? Non! L’eau peut bouillir 98 ou 102. Dépend-il de la pression de l’air et d’autres facteurs. Encore faut-il qu’elle soit pure. Donc pour être exact, un fait bien connu se doit d’être placé dans le contexte de référence.

Ainsi les stéréotypes et les généralisations sont-ils proscris. Rien n’est tout ou rien n’est tous, ou tout le monde. Chaque situation doit être prise dans son contexte. Chaque fait doit être examiné en corrélation avec les autres données.

Dans notre période actuelle, où les gens ont l’impression d’être pressés par le temps et les événements, il faut éviter les jugements à l’emporte-pièce et je dirais même qu’il faut éviter tous les jugements car ils sont superficiels.

Les faits sont des données dans un contexte quelconque. Bien des gens commencent leurs phrases, dans lesquelles ils expriment des jugements, par le mot “SI”. Donc, par essence, ce n’est qu’une hypothèse mais, les gens jugent immédiatement. C’est l’immense source d’une infâme mésentente entre les gens et un aussi une source de grande injustice commise par l’ensemble des consommateurs de médias. Ceux-ci abusent de l’utilisation du conditionnel et de mots signifiant possible. Pourrait, ferait, risque et conséquemment… Les médias par leur vision pessimiste ne font pas de l’information. Ils sont les principaux facteurs de désinformation. C’est une accusation grave que je fais mais elle se révèle avéré par la continuité des suppositions qu’ils émettent avec leurs chroniqueurs et supposés experts qui ont un avis sur tout et sur rien.

Il faut être expert, sans jeu de mot, en français pour décoder ce qui est dit et ce qui est non-dit. Rien n’est dit de faux mais, rien ou presque, n’est vrai dans la situation à laquelle on est confronté. Ne sont-ce que doute et suppositions. Voilà, vous êtes avertis. À vous de faire le reste.

Bertrand (@BDmoi)

Les médias ne cessent de parler en mal.

Les médias, tous les médias et tous les journalistes parlent en mal des réseaux sociaux. Je cherche encore des exceptions. Cependant il est une réalité fortement présente. Les réseaux sociaux menacent la survie des médias, tels qu’On les a connus. Se sont-ils assis sur leur pouvoir, on le dit le quatrième. Mais il est un premier pouvoir, celui qui sublime tous les autres et c’est le pouvoir qui appartient au peuple. Les réseaux sociaux en sont à leur prime enfance. Qu’ils appartiennent à des individus est une honte de l’humanité. J’ai souvent écrit contre les médias, ceux-ci sont impersonnels mais ils sont écrits et dits par des individus qui trouvent leur profit dans la popularité des émotions, surtout les négatives.

Il y a trop peu de personnes sur les réseaux sociaux qui s’expriment réellement. Y a-t-il un déferlement de défoulement de frustrations accumulées. Je me suis tu depuis 2 jours. Je suis tellement désolé du peu de substance du réseau Twitter (que certains forcent à appeler X). Un outil si merveilleux nous est donné. Faut-il, en ce monde déjanté, gaspiller une avancée pour l’Humanité. Comme toute nouveauté et tout médicament, il y a des effets pernicieux et ceux-ci arrivent toujours avant les bienfaits.

Je ne vivrai pas assez vieux pour voir l’Évolution dans le futur. J’espère vivement à une certaine modification du fonctionnement de la société. La disparition progressive de l’écrit et la démocratisation de la technologie permettra peut-être une évolution de la civilisation.

On me dit moralisateur, mais je me considère observateur et je remets en question la force du pouvoir immense des individus et la torpeur dans laquelle ceux-ci sont plongés.

Bertrand (@BDmoi)

Je ne sais mais je pense

Ceci n’est pas une ode elle a plus de strophes que nécessaires et ils ne sont pas en décasyllabes.

M. Ferrandez si vous avez le coeur de lire ceci, ayez le coeur à rire un peu mais aussi à voir le désespoir qui m’anime.

Ode à Ferrandez et à Cogeco media.

J'ai à un certain moment
espéré un changement
La venue de M. Ferrandez
M'a complètement rempli d'aise
Je verrais avec le temps
ma satisfaction augmenter d'autant
Mais je suis bipolaire
et mon humeur est tributaire
de mon environnement
et de mes sentiments

N'est-ce pas parce que je suis bipolaire
Mais je me sens suicidaire
N'est-ce que la vue sans éclat
que projette les médias
Dans la société
Complètement désorganisée.

J'avais espéré M. Ferrandez
qu'assis sur votre chaise
Devant un micro bien écouté
Vous feriez raisonner
Les politiciens 
et les citoyens

Était-ce un rêve qui n'est pas devenu réalité
Je me dois de vous exprimer
que vous m'avez déçu
Vos chroniques insipides et perdues
Dans des bijoux d'entrevue
avec bien des parvenus
M'ont souvent déplu.

Cogeco le réseau de l'information?
C'est le réseau des émissions
Pour faire rayonner la publicité
des gens par qui vous êtes payé
Il est impossible de rimer information
et promotion
Le wokisme est une condition
qui assaille la population

Vous en êtes en partie
la cause de mes soucis
Je ne veux vous rendre responsable
de mon état instable
Mais la pression de la désinformation
exacerbe ma dépression.
Que vous ayez des notes légères dans l'émission
ne me dérange pas plus que de raison.

Faut-il un certain dosage
pour maintenir votre image
Certains vous trouvent naïf
Moi je vous trouve informatif
Mais n'est ce que talent perdu
de parler culture de cul
dans un émission 
que l'on dit d'information

M. Ferrandez je suis déçu et ce n'est pas de votre faute
C'est celle du médium qui ne cherche d'autre
que de financer la paie qui est celle de vous et des autres
Sommes nous dans un monde économique
Je ne crois pas mais je passe pour un comique
Je hais les notions d'idéal
que promeut votre canal
Peut-on dans une émission d'information et de solution
Parler de raison et de confirmation
que le monde réel existe
et il faut que j'insiste
Votre influence est grande 
et votre voix porte grandement

Je ne veux attirer votre pitié
J'ai vécu 15 années
de pensées suicidaires
et j'ai passé au-travers
Mais je dois à la vérité de dire
que d'entendre de plus en plus en plus de vos dires
répondre aux désirs avoués ou non des propriétaires
me met en beau calvaire
Je dois à l'occasion fermer brusquement la radio
pour préserver mon ego

Faites ce que bon vous semblera
mais moi, en tout cas
je souffre énormément
et ce intérieurement
de tout ce talent perdu.