Dans un monde où il y a pénurie de travailleurs?

Dans un monde où il y a pénurie de travailleurs, est-il opportun de se poser la question à savoir: faut-il limiter la quantité de poison qu’une population doit supporter pour maintenir des emplois bien payés?

Bien des gens considèrent-ils le montant d’argent dont il est question et modèrent leur aspirations. Est-ce la réalité de notre société? Toujours est-il que ça fonctionne pour les médias et les politiciens. Ce n’est que lorsque quelques journalistes, qui croient à l’injustice, qu’ils alertent la population, que le problème surgit. Le véritable problème, celui de la population. Pas celui de quelque conglomérat qui poursuit sa quête de profit, aux dépends d’êtres qui ne demandent qu’à vivre.

La liberté de presse est là pour ces cas. Mais n’y en a-t-il pas beaucoup de ces journalistes là. Mais que voulez vous il y a pénurie d’enquêteurs aussi? Mais si on avait un véritable loi pour protéger les dénonciateurs, y aurait-il création d’emplois payants pour la société?

Bertrand (@BDmoi)

Qui veut mourir pour vivre?

Qui veut mourir pour vivre? Personne. Mais bien des gens sont-ils morts en vie? Ils pensent être condamnés à vivre la quotidienneté mais n’est-il que l’obscurité dans laquelle ils se sont plongés. Les gens, en général, ne savent faire la différence entre ce qui est essentiel et ce qui est accessoire. Ils laissent passer des choses tellement importantes pour ne s’occuper que des détails. J’ai un exemple qui s’est passé hier. Les gens m’ont traité de naïf parce que j’ai dit que Sophie Durocher faisait du millage sur le cas de la CRTC.

Tout ce que j’ai dit c’est que M. Lamour avait le droit de dire ce qu’il a dit et le droit de faire une plainte au CRTC. Les gens n’ont aucune idée de ce que veut dire ce que j’ai dit. Ils supportent Sophie Durocher (pourquoi? Je n’en ai aucune idée) et blâment M. Lamour qui est dans son droit. Qui a donné le droit à Sophie Durocher de parler du droit de M. Lamour?

La liberté de presse est accordée pour que les actes du gouvernements qui sont déplorables face aux droits des citoyens soient exposés clairement. Si l’article de journal avait décrié le fait de la CRTC j’aurais applaudi. Mais Mme Durocher a préféré personnaliser le dossier et faire de M. Lamour un fieffé empêcheur de tourner en rond.

Alors gardez votre cerveau au repos, prenez les avis des commèrementateurs (trices) et continuez de regarder le doigt alors que les observateurs voient et désignent la lune.

Bertrand (@BDmoi)

Jadis y avait-il des personnages?

La rectitude politique est pire que ce qu’ont exigé les religieux catholiques dans l’ancien Québec. C’est une affirmation grave, mais vu mon âge, suis-je en position de l’émettre. Des gens autoproclamés gourous de la pensée nous oppriment de leur pensée à eux.

Fred Pellerin fait une carrière à nous présenter un village qui était peuplé de caractères, des personnages, qui ont leurs habitudes et leurs travers. Les gens s’aperçoivent qu’ils ont perdu quelque chose de fabuleux. La possibilité d’être heureux en société. Il faut qu’ils leur soient contés pour pouvoir les tolérer. Une personne différente, dans la diversité, est vite réprimée.

Les gens qui étaient des personnages dans le temps avaient du caractère et ne s’en laissaient pas imposer par qui que ce soit. Vivaient-ils leur vie à leur rythme. Vous ne connaissez pas M. Gauthier ou M. Rheault, ils ont peuplé mon enfance. Mme Gauthier a aussi ensoleillé mes journées avec se bontés.

Ce n’est pas nostalgie du temps passé. C’est ce qui m’a formé. Mais il faut dire que le temps présent n’est pas un cadeau pour les gens. Toujours courant, s’épiant, s’énervant pour un rien. Pendant ce temps des choses terribles se passent sous notre nez.

N’y a-t-il la liberté que d’accepter ou pas ce qui se passe dans notre monde immédiat. Mais non, il faut encore accepter les dictats d’une minorité, si ce n’est que d’une singularité. La société a cessé d’exister quand il a fallu protéger la moindre personne de tout sentiment désagréable. Ce qu’on appelle la tyrannie de la minorité est maintenant réduite à une personne.

Notre monde est invivable, de plus en plus, parce qu’on ne peut être qui on est. Avec nos qualités et nos défauts. On n’a plus la colonne vertébrale d’être alors on se replie sur l’opinion des autres. Les gens ont si peu à vivre eux-mêmes, pour eux-mêmes, qu’ils regardent les autres et commentent la moindre différence d’opinion.

Irons-nous à fond dans ce délire ou reviendrons-nous à la raison de vivre en société? Vivre la diversité c’est vivre la différence. Et vive la différence! Quoiqu’en dise Justin Trudeau, il y a de la place en masse pour tout au Canada. Peut-être est-ce sa vision à lui qui est dramatique au point de briser la société?

Bertrand (@BDmoi)

Est-il humain de se plaindre des humains?

Est-il humain de se plaindre des humains? Il semblerait que oui. Mais est-il humain de se hisser parfois au niveau du divin? Ce que les gens se réclament d’humanité est bien souvent pour se déculpabiliser. Toute leur humanité sert-elle à expliquer leur faiblesse, bien souvent morale, pour des actions commises sous l’influence de ce qu’ils croient que les autres font. Personne ne suggère-t-il de faire ce que vous vous réclamez aussi faible que ce que vous pensez des autres.

Il existe évidemment des gens qui font des choses avilissantes. Peut-être y en a-t-il beaucoup? Mais les gens heureux n’ont pas d’histoires, dit-on. Les médias ne parlent que des exceptions, des cas qui font sensation. Alors votre petit esprit ne cesse-t-il d’enregistrer que la majorité est telle que décrite. Mais en réalité ce n’est pas ça l’humanité. Pour être mentionné dans les médias, pour une bonne action, il faut presque la perfection. Mal vous en prend car personne n’est au-dessus de tout soupçon. La divinité est un idéal qui n’existe pas. Quoiqu’en dise qui que ce soit, c’est une vue de l’esprit et il n’est pas souvent sain.

Se tromper peut être humain, n’est-ce pas le lot de tous? Le problème ne consiste pas au fait de tomber. Il y a plein d’écueils sur la route, surtout au Québec. Bien des gens jugent de ce que les autres se font. Moi, je ne juge que les autres, qui jugent ce que les autres font. L’humanité, qui s’approche du divin sans l’atteindre, est celle qui pardonne aux autres d’être tombés.

Il ne faut pas être niais, il y a des gens qui ont besoin de soutien, pas de jugements intempestifs. Mais encore faut-il les responsabiliser de leurs comportements répétitifs qui font qu’ils retombent constamment, après s’être dit: on est seulement humain. C’est vrai mais ce qui distingue l’humain du simple vivant est sa capacité de rendre à César ce qui apparient à César. Je ne fais pas l’apologie de oeil pour oeil mais bien celle du support de qui a des faiblesses a besoin de reconnaître ses faiblesses et peut agir dans le sens qu’il faut pour arrêter de tomber. Mais, l’humain étant l’humain, ne choisit-il pas la facilité de blâmer et punir, plutôt que d’aider et soutenir?

Bertrand (@BDmoi)

Quand on gère la réaction au lieu de l’action.

Quand on gère la réaction au lieu de l’action? On n’a ni liberté ni justice. En voyant ce qui se passe aux USA est-il une question qu’il faut se poser? On modère les réactions épidermiques des oppositions plutôt que leurs actions antidémocratiques. Ne sont-elles poussées par des gens épris de liberté. Mais le pouvoir cherche à maintenir un état de fait qui est loin des paroles énoncées dans leur constitution si mondialement estimée.

On pavoise à être contre, pendant que les actions sont une honte. Vouloir résoudre les autres à sa volonté, par l’appel aux valeurs religieuses de quelques-uns, est une démarche anti-liberté et tolérance. Les pères fondateurs de la nation et de la constitution étaient habités par des valeurs qui aujourd’hui ont explosé.

Démocratie est-il le remède à la folie qui a cours présentement? Nous n’avons plus la démocratie mais la loterie des élections. Verra-t-on le retour de la raison? Y aura-t-il une révolution? La liberté sera-t-elle de retour dans les valeurs des gens, indépendamment de leur religion personnelle et celle professée par des élites politisées?

Bertrand (@BDmoi)

En ai-je assez de qui se plaint?

En ai-je assez de qui se plaint et ne veux pas en discuter. Twitter n’est pas un désert où l’on peut crier sa peine. Est-il peuplé de gens sincères qui veulent aider. Beaucoup se plaignent pour ventiler mais, pendant ce temps, n’en ont-ils que pour dire que les réseaux sociaux sont associés à des tourments que tout le monde peut polariser. Aussi, si vous voulez vous plaindre et ne faire que ventiler, faites-le sur le papier ou dans un traitement de texte. Ainsi personne ne vous répondra ou vous rétorquera indument.

Si vous allez sur un réseau social, c’est dans le but d’être vu et entendu. Sinon à quoi ça sert. L’odeur de vos plaintes est fétide et pollue le fil des événements. Bien des gens cherchent à aérer l’espace, mais encore plus, libérer votre vie de ses tracas, à l’aide de leur expérience.

Les journalistes font grand cas des aléas des réseaux sociaux. Comment se fait-il que moi, qui ai écrit 86000 tweets dont 1285 articles, ne reçoit pas de hatemail. Je bloque bien des gens qui ne sont là que pour me réclamer de l’argent. Je les appellent des coucous car ils commencent leur relation ainsi.

J’émets à fort volume et à l’occasion me fais je traiter de polisson. Je rétorque toujours que je ne fais que répondre à une émission de tweet QUE J’AI LUE. Twitter est un réseau social publique.

Alors plaignez vous allègrement de ce qui vous tourmente vraiment. Vous aurez peut-être un retour qui vous fera retrouver la joie et le bien-être. Mais ce n’est pas gratuit. Ça demande de l’énergie et de la COMMUNICATION. Ne perdez pas de temps à émettre sans raison et servez vous du plus bel outil inventé à date pour communiquer avec des gens qui ont peut-être un début de solution à votre problème. Jamais l’élément de solution n’est-il parfait mais cet élément peut servir à la solution finale de votre problème?

Bertrand (@BDmoi)

Quand on dit, tout ce que je demande.

Quand on dit “tout ce que je demande c’est…”. Faux! Vient ensuite une litanie de récriminations différentes et sans fin. Quand je dis “Tout ce qui me manque c’est..” c’est alors que commence une activité tranquille mais décidée. Je m’active à aller chercher ce que j’ai identifié et arrive ensuite la félicité.

Souvent, me suis-je assis dans mon loyer et me suis-je demandé qu’est-ce que JE changerais si j’avais 50 000$ sur la table de cuisine? La plupart du temps la réponse était… rien.

Faut-il être sérieux quand on parle et surtout sérieux quand on pense à son sort. Cela demande un grand effort mais la récompense est en or. C’est le bien-être éprouvé et ce, pour une bonne durée. Ma dernière quête est entamée. Je l’ai dit j’ai acheté une automobile électrique et j’en suis très heureux. Je jouis d’un grand esprit de satiété, même si l’ouvrage n’est pas terminé. J’ai trouvé un compromis pour recharger la batterie. Mais pour l’hiver ce ne sera pas assez. Aussi dois-je continuer ma quête pour avoir une borne de recharge de niveau 2 à mon domicile. Ce n’est pas une question d’argent. Tout au plus 3 ou 4 mille dollars.

Depuis le mois de décembre 2021 est-ce que je travaille le dossier. N’ai-je que trouvé récemment, le premier maillon à parler pour joindre le propriétaire de l’appartement. J’ai demandé un rendez-vous et j’attends. Mais, suis-je patient. Patience et longueur de temps donnent des résultats probants. Il ne faut pas être pressé. Il faut être obstiné, déterminé et comprendre que la société n’est aucunement intéressée à notre sort. Donc demander aux autres est vain si on n’est pas prêt à assumer.

Donc en conclusion, ne devrait-il pas être “Tout ce que je ME demande, c’est…”?

Bertrand (@BDmoi)

Bien souvent la personne se contente de vivre.

Bien souvent la personne se contente-t-elle de vivre sa vie. Les gens autour y mettent toute sortes d’intentions, qui n’y sont fatalement pas. Ne sommes nous pas conditionnés à tout relativiser en bien et en mal. Notre vision manichéenne doublée d’un esprit de plus en plus binaire, à cause des ordinateurs, nous amène bien souvent à juger des gens et des choses, sans nuances.

Peu de gens, bien qu’il y en ait, se lèvent le matin dans le but de faire du mal à quelqu’un, particulièrement vous. Pourquoi projeter sur les actions des autres, une intention qui n’y est pas. Bien des gens commencent la journée en se préparant au pire, au cas où ça arriverait. Bien des personnes sont heureuses de leur journée quand il ne s’est rien passé. Mais la vie, selon moi, n’est pas ça. C’est une série d’occasions et d’opportunités qui s’offrent à moi. Je suis sans travail depuis 32 ans, j’ai eu des années très difficiles mais, depuis 20 ans je fais du bénévolat. J’ai une série d’agendas, tous plus gribouillés les uns que les autres, que j’ai jetés l’autre jour. Ainsi ai-je pris conscience de tout ce que j’ai fait pendant ces années où je me suis trouvé à vivre, en dépit de moi.

Les choses ne sont pas importantes, les gens le sont. Tous ces rendez-vous que j’ai acceptés, toutes ces personnes que j’ai transportées, toutes ces journées à avoir des occupations, m’ont permis de connaître l’essence du bonheur. Le bonheur est à l’essence des intentions que l’on met sur les gens. Faut-il en prendre conscience et y croire fermement. Ce qui ne change pas dans le monde c’est que les gens s’attendent au pire. Ne se repaissent-ils pas de mauvaises nouvelles, pour confirmer qu’ils l’ont échappé belle.

Vous voulez changer le monde, brusquement, en profondeur? Changez votre optique de vie. Les gens, la plupart, ne sont pas là pour vous mais pour eux. Cessez de penser à un dieu juste et vengeur. Il est amour et miséricorde. Si vous le voyez ainsi, vous changerez votre vie et il y aura justice sur Terre, celle de l’humanité des personnes de bonne volonté, que vous êtes.

Bertrand (@BDmoi)