Est-ce comique ou tragique?

Bien souvent des gens se plaignent du manque de positivité et d’arguments dans les discussions. Le problème est tout simplement le fait de ne pas être disposé à discuter. Discuter demande des interactions. Mais beaucoup commentent et ne reviennent pas. Ils viennent sur les réseaux sociaux pour quelles raisons? L’information ne circule pas gratuitement, il faut la faire circuler. Les gens croient que l’on peut s’informer sur twitter. Mais ne font-ils qu’en recevoir des miettes et ces miettes sont parsemées dans un flot d’émotions et de croyances.

Beaucoup semblent venir sur twitter par dépit. Personnellement, j’essaie d’estimer l’état du monde qui m’entoure. C’est un exercice qui prend beaucoup de temps et d’énergie. Parfois je dois m’éloigner parce que ma tolérance est mise à contribution par certains. Mais est-ce justement d’eux qu’il faut parler. Il y a des gens, très actifs, qui entretiennent des vendettas personnelles contre les idées des autres ou contre des partis politiques.

Ils émettent énormément avec des hashtags pour disséminer leur message. C’est triste de voir qu’une partie importante du trafic sur Twitter est liée à ces personnes qui, sous des pseudonymes obscurs ou non, jettent des notes absolument sans fondements et qui, basées sur des anecdotes font des projections de saleté sur les autres.

Alors avant de se plaindre, ne pourrions-nous pas nous interroger sur la valeur de nos contributions sur les réseaux sociaux. Il est facile de détruire et de critiquer. Mais beaucoup n’ont aucune envie de construire un futur agréable pour tous et surtout pour nos enfants. Alors prendre du temps pour améliorer la vie des autres nous est bénéfique parce qu’il entretient la beauté du monde et non, ne pas jeter de la boue au visage de tous.

Bertrand (@BDmoi)

Toujours y a-t-il eu guerre.

Toujours y a-t-il eu guerre et luttes de pouvoir. Mais jadis n’a jamais existé. Il y a toujours eu vanité, jalousie et envie. Mais jadis n’a jamais existé. Ceux qui ont la nostalgie du passé ne retiennent que les beaux moments. Ils ont existé et ils existent encore. La vie sur Terre s’est déroulée jour après jour. Avec sa lutte pour la survie. Amenant tous les avantages et tous les inconvénients.

L’humain qui vieillit lentement fait un tri dans ses souvenirs au fur et à mesure qu’ils se produisent. Ces souvenirs sont classés par les émotions. Les belles occasions font ressurgir les bons souvenirs. Les mauvaises occasions font ressurgir les mauvais souvenirs. Ainsi va la vie. Ainsi se souvient-on de la première fois où… Revivre la situation nous ramène souvent à la première fois.

Je crois que c’est la base de la nostalgie. Le meilleur exemple que je puisse trouver est les odeurs de cuisine. Dans le temps des fêtes, quand les mères préparaient les festivités et que ça embaumait l’atmosphère. Juste de vous en parler fait revenir des souvenirs.

La nostalgie est basée, beaucoup, sur nos regards d’enfance. Les premières fois où l’On a fait l’expérience du monde au sujet de quelque chose. Donc, n’en tient-il qu’à nous de créer de bons souvenirs aujourd’hui. Faire de nouvelles rencontres, de nouvelles expériences et de choisir quels seront nos souvenirs futurs. Mais il y a une chose qu’il ne faut pas oublier et c’est primordial. Nous vivons présentement avec les pour et les contre. Ne laissons pas les émotions sombres gâcher nos souvenirs futurs. Vivons la vie qu’il nous est permis de vivre et saisissons toutes les opportunités de devenir nostalgiques.

Bertrand (@BDmoi)

Quel bien cela fait-il?

Quel bien cela fait-il de répandre le fiel? Cela n’est pas essentiel. Les médias le font abondamment dans l’espoir de retour sur investissement. Mais ne reçoivent-ils que ce qu’ils méritent. Mon point de vue est celui des ventes des médias. Que ce soit à la radio , dans les journaux ou à la télévision, les médias perdent de la popularité. On impute au fait que les jeunes ne les consultent pas. Mais pourquoi? Se laisser martyriser par les médias n’est pas sain. Et les jeunes ne sont pas fous.

L’explosion des moyens de communication a permis une démocratisation des sources d’information… et de désinformation. Les médias parlent beaucoup de la désinformation qui circule et ont-ils à un certain point raison. Mais n’en sont-ils pas une partie de la raison. Avec la propagande dont ils se font les promoteurs les médias sont peu suivis, les jeunes eux veulent de l’Information.

Les journalistes, peu nombreux ne cessent de dire que les chroniqueurs ne sont que des gens qui donnent leur avis et ne sont pas des journalistes. Pourquoi les médias n’écoutent pas leur propre journalistes? Dans le but inavoué de faire de la propagande et de susciter l’émotion on nous répand des quantités de pensées toutes faites. On évalue le succès des commèrementateurs sur le taux de brouhaha qu’ils suscitent. On dit exposer un éventail de points de vue alors qu’en fait on régurgite des sentiments de négativité sur le monde qui nous entoure. Le monde n’est pas ce qu’en disent les médias, qui n’en ratent pas une pour dire que la Terre c’est de la merde. Encore faut-il laisser un brin d’espoir pour vendre le matériel. Mais la Terre c’est de l’humus où foisonne la vie.

La Nature a horreur du vide. La nécessité est la mère de l’invention dit-on? Alors les médias sociaux ont prospéré grâce au vide d’information laissé par les médias traditionnels. Ceci est mon opinion que j’ai maintes fois exprimée et c’est triste car le résultat n’est pas meilleur pour un individu de faire une synthèse. Mais, au moins, l’information brute est-elle plus disponible.

Bertrand (@BDmoi)

La peur la mère de tous les sévices

La peur est la mère de tous les sévices. Parce qu’elle nous les fait vivre continuellement. Peu importe que vous ayez subi l’objet de votre peur ou pas, ce qui compte c’est ce que vous faites de votre peur. Si vous n’y pouvez rien, c’est à votre cerveau d’agir et à vous de contrôler vos pensées. Mais si vous avez la moindre possibilité d’action et que vous ne faites rien, c’est la peur votre problème, pas l’objet de la peur.

Il semble facile de dire, mais, il est facile de faire. On peut soit déplorer ou soit se rebiffer. Déplorer est émotion, se rebiffer après s’être exclamé est raison. Quand on essaie d’envisager les étapes pour se sortir du trou, s’en sort-on et encore grandi. Les émotions sont là, c’est un fait. La raison, quand elle est mise à partie, nous sort de l’émotion et nous permet de grandir.

Mais il y a la peur. Celle qui paralyse et empêche la raison de prendre le pas. Pour certains aventuriers n’est-ce qu’un seconde nature que de faire ce pas. L’échec des expériences passées nous renseigne sur notre personnalité. Ceux qui sont restés sur l’échec vivent continuellement la peur. Ceux qui ont réalisé qu’ils s’en sont sortis vivants continuent à vivre et à expérimenter.

La pire de toutes les émotions est sûrement la peur. Elle paralyse et endort bien du monde. Certains ont l’illusion du bonheur simplement parce qu’ils dorment. Le bonheur, pour eux, est qu’il n’arrive rien. La vie est pleine de rebondissements et n’est-ce que rarement qu’Ils sont contents. Le monde n’est pas parfait mais n’en sort-on que par la mort. Alors faisons contre mauvaise fortune bon coeur et mettons nos neurones à l’oeuvre pour profiter des opportunités que nous offre la vie.

Bertrand (@BDmoi)

Pénurie de travailleurs?

Il y a pénurie de travailleurs au sens syndical du terme. Celui de salarié esclave d’un employeur. Mais il n’y a pas pénurie de personnes qui veulent s’occuper de façon intéressante. On n’a de cesse de parler du sacro saint argent. Bien des vies sont-elles perdues en ennui et récriminations. Et pourtant ça ne leur apporte rien de bon. Il n’y a pas pénurie de travailleurs mais bien une pénurie de travaillants.

Bien des gens se disent qu’est-ce que ça me donnerait de plus, après la fatigue et l’Impôt? Je leur réponds ceci: vivre est plus que respirer. Si ce n’est pas assez payant de s’occuper pourquoi ne pas faire du bénévolat? Le fait de ne pas en espérer de résultat monétaire, ne fait que rendre son effet plus inestimable. Inestimable parce que la satisfaction éprouvée d’avoir passé du temps à faire quelque chose est grande. Encore plus grande est-elle d’avoir contribué à la collectivité. Mais le summum est-il de réaliser que l’On a pu aider quelqu’un de moins fortuné ou chanceux et faire sa journée.

Bien des gens ne réalisent pas que la vie est faite pour être vécue. Je vous le dis, vous ne pourrez pas dire que vous ne le saviez pas. Que vous ne le réalisiez pas , peut-être? Mais maintenant vous le savez. :-)))

Bertrand (@BDmoi)

Il est très difficile d’avoir un point de vue diversifié.

Il est très difficile d’avoir un point de vue diversifié sur twitter. Les algorithmes, la quantité d’information et de désinformation qui circulent, la vitesse de défilement selon le nombre de personnes que l’on suit mettent les nerfs à rude épreuve. Je consacre beaucoup de temps à regarder et commenter Twitter et sur twitter. Peu de gens semblent, je dis bien semblent, le faire. Font-ils des sauts épisodiques pour voir ce qui se passe et laisser tomber un peu de pression pendant ce temps.

Point de vue n’est pas opinion. Mais site de départ de la vision. N’avoir que des réactions et des émotions n’est pas vision et là en est la situation. Est-ce que ça évoluera ou pas, je ne sais pas. Je me questionne souvent sur les raisons qui amènent les gens sur Twitter? C’est normal, j’y suis et j’essaie d’estimer le monde dans lequel je vis. J’ai un horaire de vie très atypique. Je dors le soir de 6heures à 2 heures du matin et je passe la nuit à regarder twitter et à écrire sur toutes sortes de sujets.

De plus en plus de gens lisent mes textes mais très peu les commentent, en bien ou en mal. J’aimerais avoir des points de vue différents des miens. Je ne puis voir ce que je ne vois pas. N’est-ce pas évident? Twitter est un merveilleux outil dont on ne tire pas 10% du potentiel. Bien des gens, surtout ceux affublés de notoriété, ont un avis exécrable sur les réseaux sociaux. N’est-ce que la rançon de la gloire. N’y mettez pas les pieds si vous êtes trop sensibles.

Avec le temps, j’espère que le réseau s’améliorera. Ce n’est pas en le décriant que ça arrivera. Il est dans notre monde un certain pourcentage de gens qui sont mécontents ou intolérants. Mais, où ont-ils un endroit pour s’exprimer?

Bertrand (@BDmoi)

Chacun se rebiffe à son exclusivité.

Chacun se rebiffe à son exclusivité. Est-ce pourquoi chacun cherche à s’exhiber? S’afficher cause des situations qui ne sont pas simples. La folie de notre société se résume à deux points. Croire en la diversité et se vouloir le premier. Bien des gens pensent seulement à acquérir la notoriété. Et pour cela essaient de se distinguer des autres. Mais ce faisant ne reconnaissent-ils pas les autres. Les nuances ont disparu. Avant on pouvait comparer les gens et les choses. Maintenant n’y a-t-il qu’un idéal, choisi par qui? Il y a des mouvements qui partent et sont repris par les médias. Ceux-ci sont tellement concentrés et répartis sur la population que les gens pensent que c’est la voie de la raison.

On résume la vie sociale à une vingtaine de pages dont plus de la moitié sont des publicités pour des produits si bien vantés que les gens l’acceptent volontiers et se laissent manipuler. On ne parle que d’argent et comment il est stupide de ne pas en vouloir quand on n’a besoin que de quelques avoirs pour vivre une vie remplie. La simplicité volontaire est bien mal nommée. Cela devrait être l’acquisition du nécessaire. Il y aurait bien moins de pauvreté si on acceptait de se passer de ce qui est accessoire.

La vraie réalité c’est que nous sommes tous entourés de plein d’opportunités des talents de ceux qui sont à côté de nous. Loin de se demander ce qui nous est nécessaire, on se laisse manipuler par les publicitaires qui sont payés pour leur créativité afin de nous fourguer des inutilités.

J’ai étudié le Marketing, la philosophie, selon laquelle on devait définir le produit en fonction du besoin identifié et ainsi participer au bonheur de l’individu. Mais les techniques développées n’ont servi qu’a empêcher les gens de savoir ce dont ils ont besoin, et à leur inventer des besoins qu’ils ont identifié à des produits standardisés. C’est le monde à l’envers. Mais c’est le monde que l’On nous vend et le plus terrible? On l’achète.

Suis-je tellement désolé, que notre société ait tout dévalué ce qui fait l’unité de la vie d’une personne. Répondre à ses besoins est l’essentiel de la vie de chacun et n’est-ce que la tradition qui nous amène la standardisation. Notre éducation est déformation et tout n’est-il que dérision de la nature de l’individu.

Je suis bien et je possède peu. Mais je suis possédé en entier par la satisfaction de mes besoins. Tellement qu’en attendant de mourir, je vis avec les autres, que j’essaie d’instruire pour qu’ils accèdent au bonheur personnel. Le bonheur ne peut être fabriqué de masse parce qu’il est individuel. C’est une vérité qu’on essaie de nous cacher en nous disant que le bonheur de chacun vient de la reconnaissance des autres. Mais achète-t-on ce fait en disant que les gens qui sont bien sont niais et qu’ils ne savent pas ce qu’Ils manquent. Moi, je sais ce que j’ai suffisamment pour occuper mon temps. En avoir plus? Ne serait que tracas.

Bertrand (@BDmoi)

Tant de talents sont ignorés.

Tant de talents sont ignorés surtout à cause de la diversité. On est pris dans les problèmes de consommation de masse qui demandent beaucoup de standardisation. On est pris dans un maëlstrom infernal qui fait que la diversité, loin d’apporter un enrichissement, cause un appauvrissement généralisé. N’y a-t-il que les pourvoyeurs financés qui s’enrichissent et les lacs d’argent qui grossissent.

Il existe des tas de gens talentueux. il y en avait dans le temps et c’était pour le mieux. Il y avait de la vie, le jour et la nuit et toutes sortes d’activités pour tous les goûts. La standardisation des communications n’a pas accéléré cette diversité Au contraire a-t-elle concentré en quelques notoriétés ce qu’Il y a supposément de mieux.

Certains artistes font des millions, n’est-ce que par la transmission de leurs prestations en studio. Ils amassent des tas de fanatiques qui s’exclament de leur musique.

Le contraire est-il de gens qui ont des dons manuels. On exige de tous la perfection de l’un. Mais le monde commun n’est pas ainsi fait. Même les robots ne sont pas parfaits. Il faut de gros investissements et aussi un programme d’entretien que seuls de très riches investisseurs peuvent se permettre.

Où s’en va la société? Je ne saurais le dire, mais ce que je vois c’est qu’on a complètement manqué la diversité de l’individu. N’en sommes-nous rendus qu’à la standardisation de tout ce qui, dans le jargon politique, s’appelle la diversité par la conformité.

Bertrand (@BDmoi)

Bien des gens

Bien des gens se lèvent le matin

S’élèvent- ils dans la journée

Il est futile pour certains

son temps de laisser passer

Pour pouvoir se cultiver

en s’intéressant aux événements

qui sont arrivés récemment

et ensuite chercher à comprendre

les raisons qui portent à prendre

les horribles décisions

que prennent les élus

alors qu’on ne sait plus

où est la raison

Il faut s’interroger longuement

pour évacuer le tourment

de toutes les occasions

manquées comme de raison

Loin d’en être conscients

la plupart des gens

haussent subtilement

les épaules évidemment

pour ainsi évacuer

toute leur anxiété.

Est-il une impression qui me taraude?

Bien des gens se réclament de la liberté d’expression pour nier à l’autre la liberté d’exprimer ce qu’il ressent. Faut-il être impudent pour se draper de la liberté d’expression pour nier à l’autre cette même liberté. Les gens, beaucoup, beaucoup, démontrent qu’ils ne sont pas cohérents. Ils se permettent de dire n’importe quelle connerie sur la personne, pour ridiculiser ce qu’un autre a dit.

On fait des conflits de personnalités avec des gens qui se sont servis de leur liberté. Parler avec des arguments contre ceux énoncés par l’autre parti fait partie de la vie. Et c’est bien, ainsi. Mais bien des gens sont inertes car ils ne voient que ceux qui parlent alors qu’eux n’ont rien à dire.

La liberté d’expression vient du fait que chacun doit faire son bonheur. Plusieurs ne font-ils que s’exclamer contre le fait que d’autres aient exprimé ce qu’ils désirent. Le malheur poursuit ces gens qui se prononcent contre le fait que l’autre s’est exprimé. Ces gens sont à plaindre car ils sont toujours en réaction négative à des choses exprimées dans la liberté de la personne qui les a exprimées. Ils ne parlent pas contre ce qu’il a dit mais contre la personne qui les a dites.

J’entends d’Ici les détracteurs, qui vont dire que c’est précisément ce que je fais. Peut-être est-il ainsi mais au moins est-ce que je reconnais le droit de dire ce que l’on pense des arguments de l’autre et nie le droit de maudire la personne qui s’est exprimée.

Bertrand (@BDmoi)