A-t-on atteint la limite économique?

Qu’est-ce que l’économie? https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie

Cet article de discussion fait le tour de bien des choses relatives au concept d’économie. Ma synthèse personnelle du mot est celle-ci: c’est l’utilisation rationnelle des ressources physiques et humaines pour satisfaire les besoins des humains. Selon ma conception, l’utilisation n’est pas rationnelle et les besoins humains ne sont pas les désirs. Il y a bien la pyramide de Maslow pour définir les besoins mais rien n’est possible pour qualifier l’univers des désirs humains.

Toutes les lubies possibles se retrouvent dans les 8 milliards d’humains sur la planète. Celle-ci ne peut absolument pas suffire, à moyen et à long terme, à satisfaire cette masse incompréhensible et incompressible d’humains. Les pays de l’occident, qui ont défini la société de consommation, et qui disposent des meilleurs conditions de vie de la planète ne suffiront pas à maintenir, encore longtemps, le rythme du dernier siècle.

Il y a des livres qui se sont écrits et qui s’écrivent et qui s’écriront sur le sujet. Ne suffit-il pas de dire qu’il faut modérer nos ardeurs et redéfinir, socialement, ce qu’est vivre en tant qu’humain? Malheureusement bien des personnes sont attachées aux traditions. Celle-ci nous ont amenés à bien des choses malheureuses. La chasse, qui servait à se nourrir, est devenue l’apanage des riches qui se délectent de trophées de race en extinction. La pêche, qui servait aussi à se nourrir, est une industrie qui gaspille les ressources marines par ses méthodes et son ampleur.

Ces deux exemples montrent combien le passé, de nécessité est passée à exploitation éhontée. Nous avons plein de réflexion à faire mais… Il n’y a pas d’intérêts personnels suffisamment répandus pour le faire. Il n’y a pas de place suffisamment courue pour le faire. Et le pire? Il n’y a aucune conscience unie pour le faire.

Comment s’en sortir? La pénurie commence. Y survivra-t-on? Oui! Dans quel état? Voilà la question. État de guerre ou état de survie?

Bertrand (@BDmoi)

Changement d’heure changement d’humeur?

Le 13 mars 2022 est la date du changement d’heure au Québec. C’est aussi la fin du passeport vaccinal dans la province. Habituellement, avancer l’heure annonce la venue du printemps et des jours plus longs. Mais cette année est-ce que ça apportera aussi un changement dans l’horizon visuel des gens? La pandémie a assombri le ciel québécois. L’invasion de l’Ukraine a assombri encore plus notre monde.

On passe d’une catastrophe à l’autre à une vitesse de plus en plus grande. L’instantanéité de l’information, loin de répondre à l’espoir de libérer les HOMMES rend celle-ci une terrible menace pour la santé mentale des gens. À part de se déconnecter des médias que pouvons nous y faire?

Pas grand chose. Mais il existe une possibilité offerte à tous. Celle de faire concorder ses bottines avec ses babines en utilisant son cerveau pour modérer les unes et accélérer les autres. Autrement dit: réfléchissez avant de parler et agissez pour améliorer le monde autour de vous.

Les gens parlent trop et ne réfléchissent pas avant de parler. Beaucoup crient sur les réseaux sociaux. Ils crient leur frustration et leur haine. Ils sont contre. Contre quoi? Tout. Il faudrait qu’ils aient conscience qu’ils ne sont pas dans le désert mais bien sur les réseaux sociaux. Il faut réapprendre à se parler, à s’entraider. Mais ce serait déjà un grand pas si on ne se nuisait pas.

Il faut être plus positifs et être pour au lieu d’être négatifs et être contre. C’est la grâce que je nous souhaite en ce dimanche.

Bertrand (@BDmoi)

Quand l’égalité sera légalisée.

Il est une chose de légiférer et une autre de rendre effective la loi. Une loi sans dents est un vœu pieux. Si, selon la charte, on ne peut faire de différence selon le sexe, l’âge ou la race, faire des quotas est aussi illégal selon la charte. On ne casse pas l’inégalité en étant illégal.

Nous sommes à la frontière du wokisme ce qui implique que nous pouvons retourner en arrière et essayer de se stabiliser dans la moyenne qui s’appelle l’égalité de tous. Comment? En donnant la chance aux gens de prouver ce qu’ils valent. Toutes nos inventions humaines ont perverti nos relations humaines.

La principale invention qui pervertit tout c’est l’argent. On évalue la valeur d’une personne à l’argent qu’elle gagne ou possède. L’argent n’est pas le problème ce n’est que le symptôme. Le problème c’est notre stupidité. Celle de chacun de nous. Notre damnée habitude de juger les gens sur les apparences. On cherche à se rassurer sur le danger que représente l’autre. Basée sur des stéréotypes purement fictifs et imposés par des heures et des heures de visionnement de films et de séries TV, cette mauvaise habitude nous est inculquée dès notre jeune âge.

Faire de l’âgisme ou du sexisme ou du racisme positif c’est faire de l’âgisme ou du sexisme ou du racisme, point. Traiter la personne en cause comme une personne est la voie à suivre. Qui veut s’y risquer?

Bertrand (@BDmoi)

La plupart des choses que l’On sait du passé ne sont pas vraies.

Je ne dis pas qu’elles sont fausses mais, elles ne sont pas vraies. Ce sont des mélanges que les vainqueurs ont conçus pour justifier les horreurs qu’ils ont commises, supposément moins horribles que les horreurs commises par les vaincus. Nous ne savons rien du passé réel que des fables à la gloire des vainqueurs.

Très peu de gens ont fait des recherches sur le passé et celles qui ont été publiées sont celles financées par les vainqueurs. La plupart des choses que nous pensons savoir du passé nous ont été inculquées par des gens pas nécessairement plus informés que nous.

J’en connais assez du passé pour savoir que nous n’avons guère évolué depuis la nuit des temps. Il est certain que le monde des Câlinours n’a jamais existé. Les civilisations anciennes étaient horribles entre elles. Mais il y a eu de grands philosophes. De tous les azimuts. Le monde occidental semble, et je dis bien semble, plus en paix mais n’est-ce que parce qu’il opprime ailleurs sur la Terre.

La pandémie a isolé bien des personnes. Est-ce que ce sera assez pour civiliser notre population? Je ne crois pas. Pour choisir où l’on veut aller il faut la connaissance d’où on est et au moins de la direction qu’on veut prendre. Pas nécessairement de la destination finale mais, au moins, de la direction.

Les philosophes du passé, quand on est capable de lire leurs écrits, même si c’est dans une bonne traduction, nous font voir ce qui est possible virtuellement. Nous ne sommes qu’à l’étape du virtuel. Quand procéderons-nous à l’étape du réel?

Bertrand (@BDmoi)

La stupidité des partis politiques expliquée par le PCC.

Le système de partis politiques est dépassé par les possibilités offertes par la technologie. Mais, cette même technologie, rend le futur plus incertain. Il y a changement plus rapide que dans les temps anciens. Il est absolument dépassé de voter pour un parti ou pour un chef de parti. Pourquoi?

Comme je l’ai écrit maintes fois les gens peuvent trouver n’importe quelle interprétation au vote: pour le chef, pour le parti, pour le candidat, pour le programme du parti, etc. Cela rend donc le vote non significatif. Cela fait discourir les commèrementateurs pendant des heures et des pages.

Mais aussi, cela déresponsabilise le candidat. Bien souvent n’est-il qu’un pion qui va réchauffer les bancs de la chambre.

On ne peut se fier à la mausus de ligne de parti qui, plus souvent qu’autrement, soutient la position de personnes dans l’Ombre plutôt que celle du citoyen ou des citoyens.

Mais ce qui rend le système le plus stupide c’est ce qui arrive au Parti Conservateur du Canada. Division entre l’extrême et le centre. Choix de positions des chefs sur des choses qui regardent les provinces, mélange total de la religion et de l’état et j’en passe.

Non. On ne peut continuer ce système à long terme. On doit aboutir à une saine démocratie où l’élu est le représentant des citoyens qui l’ont élu. Devrait-on conserver le système des comtés? Devrait-on refaire tout le système? Je le crois. Mais, pour cela on doit ouvrir la Constitution. Cela arrivera par la séparation du Canada qui arrivera par le Wexit. L’augmentation des prix du pétrole ramènera la puissance de l’Alberta qui en profitera pour mousser la séparation de la confédération. Si on additionne les citoyens en faveur du Wexit et de la Souveraineté du Québec, nous dépassons probablement la masse des 50% et de beaucoup. Y aura-t-il union des forces sécessionnistes suite à la déconfiture du PCC? Quel que soit le chef élu au parti il y aura schisme suffisant pour faire du Parti Libéral, le gouvernement minoritaire permanent.

En a-t-on assez des partis et des chefs politiques? Il faut croire que non. Pendant ce temps on demande que les Russes répudient Poutine. Il fut une démocratie.

Bertrand (@BDmoi)

Est-il tolérable de tolérer l’intolérable?

Est-il possible d’attendre que quelqu’un mette fin à Poutine? Le même drame que celui de l’Allemagne de Hitler se reproduit avec Poutine. La guerre est-elle évitable, tant que Poutine est en charge? Le peuple Allemand a suivi Hitler. Il était dans une certaine abondance. Le peuple russe, après des années de privation, a connu une certaine abondance avec Poutine. Je sais c’est odieux ce que j’écris mais, est-ce la réalité?

Si Biden agit comme Chamberlain en Angleterre dans le passé, où est Churchill? Si on demande aux Russes de se soulever contre Poutine, pourquoi ne réclame-t-on pas une véritable soutien à L’Ukraine? Mais non, nous sommes préoccupés par notre bien-être. L’inertie est telle, dans le monde entier, que le pouvoir personnel est annulé. Plus personne n’a le pouvoir de soulever les foules inertes. La satisfaction des êtres fats est tout ce qui compte pour nos civilisations décadentes.

Je ne fais pas appel à la guerre, c’est immonde. Mais, je fais appel à la Justice humaine. Rendre à César ce qui appartient à César. Le peuple Russe n’a pas à souffrir longtemps à cause de Poutine. Il faut prendre les moyens pour éliminer la personne responsable. Le plus vite sera le mieux. Mais on a tellement peur de mettre son doigt dans la trappe à rat qui est armée. Ne peut-on la désarmer avec un bâton?

Cette partie d’échec diplomatique a assez duré. Il faut y mettre un terme. Ce sera pénible c’est certain, mais à quel point? Voilà la terrible question. On parle contre les matamores mais on punit les victimes. C’est comme dans la vraie vie. On parle mais on ne réagit pas. Est-il plus économique de tolérer? Il semblerait que oui. Notre génération a tout à envier à celle de nos grands-pères.

Bertrand (@BDmoi)

Quand nous utiliserons chaque jour…

Quand nous utiliserons chaque jour pour changer le monde et que nous n’utiliserons pas chaque personne pour reconnaître chaque jour à quelque cause autre que changer le monde? Toutes les journées de ci ou de ça ne servent qu’à nous diviser. Spécifier une journée pour les femmes ou pour les handicapées ou pour quoi que ce soit ne fait que gratter le bobo. Ceux qui sont privilégiés s’en servent pour asseoir leur supériorité.

Pour faire l’égalité il ne faut pas privilégier un sur l’autre. Non! Il faut reconnaître l’autre à sa juste valeur. Tous sont égaux mais différents. Chacun a son point de vue et on a besoin du point de vue de chacun pour percevoir toute la réalité. Mais ça n’arrivera jamais.

Faudrait-il abolir toutes les journées spéciales pour souligner l’égalité de tous? Je ne suis pas loin de le penser. En attendant bonne journée des femmes et cessez de vous estimer inférieure vous ne l’êtes pas, mais tant que vous le ressentirez vous le serez, de fait. On ne peut changer le monde qu’en se changeant.

Bertrand (@BDmoi)

Fais comme l’Oiseau…

Fais comme l’Oiseau. Vivre de l’essentiel et protéger ta progéniture. Nous disparaîtrons un jour, tous et chacun. En quoi ce passage est-il utile? Bien des gens se posent la question et n’ont pas de réponse. Pourtant ils disent vivre. Qu’est la vie? En temps de paix, en temps de guerre?

Il est un mot que je déteste par-dessus tout et c’est “SI”. Il n’est pas “SI”. IL est ce qui est et, peut être ce qu’on en fait ou pas. Bâtir un futur à partir de ce qui est est possible et ne fonctionne pas avec “SI”. Au lieu d’utiliser “SI” comme dans si j’avais, utilisons je veux. Au lieu d’utiliser “Si”, comme dans si il était… Utilisons comment rendre…

Envisager le futur d’une façon réaliste et non pas virtuelle. Là règne la confusion des gens. Ils pensent possible leur opinion, mais s’arrêtent là. La vie réside dans le changement et non pas la perpétuité. La vie implique des échanges entre l’individu et l’environnement. Beaucoup sont dans l’attente de changements de situations déplorables, selon eux. L’inertie ne permet pas le changement autre que celui dans la direction actuelle. La vie c’est justement infléchir ce changement dans une autre direction. Lentement, graduellement, peut-on changer totalement de cap. On peut aussi accélérer le changement.

Socialement, nous n’existons plus. Nous n’avons aucun but commun, sommes comme le corbeau ou la mouette qui profitent de toutes les occasions, qui se battent pour leur pitance. Et si nous existions nous changerions de tactique et prendrions celle des bancs d’oiseaux qui volent de concert et se nourrissent de toutes les graines que la Terre produit.

Il est un temps pour nicher. Produire la prochaine génération. Il faut la protéger et l’instruire, pas la former. Quand la progéniture peut voler de ses propres ailes, il faut la joindre au banc d’oiseaux et l’intégrer dans le but commun.

Nous en sommes encore tellement loin. On s’Obstine sur comment former la jeunesse alors qu’on ne cherche qu’à la déformer. L’individu existe et est la seule constante. Aussi, doit-on partir de l’individu pour bâtir une société responsable. Et bien, d’après moi, le sens de la vie c’est le futur. Faut-il se poser la question de ce qu’On VEUT en faire?

Bertrand (@BDmoi)

Le jeu des mots?

Le jeu des mots ou les jeux de mots. Quand les jeux de mots se transforment en jeu des morts. Tout n’est-il qu’abominable jeu de mots? Il semble que oui. Parole et contre-parole, dire et dédire. Dite redite et menti. On ne sait plus quoi penser. Les mots viennent nous hanter.

Que ce soit dans la guerre ou la politique ou les relations personnelles, les mots ne veulent plus rien dire. Chacun utilise les mots qu’il connaît selon le sens qu’Il veut bien leur donner. Le dictionnaire n’a plus cours. Même les immortels jouent avec la langue et nous incommuniquent de façon exécrable. À débaptiser les accents et les mots accentués, à féminiser des mots alors qu’il faut les désexuer, tous les courants de la wokitude qui nous harcèlent de tous les côtés.

Vous, qui lisez ces mots, me comprenez vous? J’ai un dictionnaire de l’année 2000 et je le garde en souvenir. Moment où les mots avaient un sens, moment où l’On a eu peur de la technologie et où on avait raison de la craindre. Je n’ai aucune idée d’où on est dans le temps. Mais on le saura très bientôt.

Je ne croyais pas vivre un tel monde de mon vivant et je le vois devenir réalité à tous les jours. La fin est proche. Définitive ou temporelle, ou est-ce le point d’inflexion de l’humanité qu’on prédit depuis longtemps. L’ère du Verseau ou de l’apocalypse. En attendant on respire par le nez et on mange du gâteau au chocolat.

Bertrand (@BDmoi)

Décommunication ou désinformation?

Il faut bien se rendre compte que le principal problème n’est pas la désinformation. La propagande a bien évolué. On en est rendu à répandre des monstres de documents qui sont absolument abscons. Il y a une explosion de pages d’écriture qui ne signifient rien. Avant c’était moins pire, je crois. On écrivait de choses qu’on ne traduisait pas en actes. Maintenant on dit des choses qu’on ne peut comprendre ni réaliser.

Cela mène à toutes les interprétations de chaque individu et nous divise dans une incompréhension totale de ce qui se passe dans le monde. Il n’y a plus polarisation. Il y a morcellement de la société planétaire. Non seulement y a-t-il incompréhension mais pire, il y a intolérance. La frustration individuelle augmente ce qui a pour effet d’augmenter les confrontations et l’absence de communications. D’où une augmentation de la frustration et tout ce qui s’en suit.

Comment se sortir de cercle extrêmement vicieux? Je n’en sais pas grand chose. Mais, ce que je sais c’est que l’ONU n’est pas à la hauteur. Il faut absolument une place neutre, où la politique est absente et où l’on peut s’exprimer en toute franchise. Comment y aboutir?

Bertrand (@BDmoi)