La vie n’est pas facile!

La vie n’est pas facile. Surtout pas en temps de pandémie, c’est vrai. Il est des temps pour tout. Un temps pour se désoler, un temps pour se plaindre, oui mais un temps pour prendre conscience de sa réalité totale, voir les obstacles et les opportunités. La pandémie est comme une grosse tempête de neige ou de sable. On peut attendre que ça passe ou on peut s’occuper durant ce temps.

Ressentir de la peine est normal et sain. Mais laisser perdurer le temps de ce sentiment est fortement malsain. On peut comprendre et accepter le sentiment. Mais on ne peut y demeurer, indéfiniment. La tempête durera le temps qu’elle durera. Prendre conscience de ses forces et ses faiblesses c’est s’ouvrir aux possibilités qui nous sont offertes. Le temps que la tempête souffle on a tout le temps pour s’introspecter et choisir notre temps.

On n’a qu’une vie à vivre et c’est maintenant. On n’a pas choisi la température, elle est ce qu’elle est. Il faut donc faire des choix. Choisir n’est pas facile, mais c’est ce qu’on fait tout le temps en ne choisissant pas. On choisit de subir plutôt que d’avoir la pleine utilisation de notre (nos) pouvoir.

Alors, après une bonne désolation pour le mauvais sort, le temps est à la conscientisation des opportunités qui nous sont offertes. Saisir le jour c’est ça. Ne pas exister, mais, vivre.

Bertrand (@BDmoi)

Procès d’intentions?

Les médias ne se satisfont pas des explications du gouvernement. Ils ont le droit. Les oppositions questionnent le gouvernement. Elles ont le droit. Mais là où je m’insurge c’est sur la politicaillerie.

On peut questionner les choix du gouvernements, oui. C’est de la liberté de parole. Mais essayer de juger des intentions du gouvernement est on ne peut plus immorale en cette période.

Faire toutes les supputations sur les motifs des gouvernements est anti démocratique et est tellement bas. Qanon se spécialise dans cela et est conspué. Devrait-on conspuer les médias? Je n’en suis vraiment pas loin. Les politiciens endurent la débarque de confiance des citoyens. Les médias suivent de peu.

Dans ce jeu de perceptions tout le monde perd. À quand le retour aux faits, aux analyses et la fin des insinuations sous forme de questions plombées?

Bertrand (@BDmoi)

J’ai le droit mais je dois!!!

J’ai le droit de dire ce que je pense mais, je dois l’avoir réfléchi un peu tout de même.

J’ai le droit à ma liberté de conscience mais je dois la suivre pour moi.

J’ai le droit de bien des choses mais je ne dois pas l’imposer aux autres.

La charte des droits existe pour protéger la personne de la pression des autres à la conformité C’est une loi et pas un dictat. Tous nos actes concourent à respecter la loi ou la défier. Une loi n’a le pouvoir que d’être respectée par la majorité.

Se servir de la loi pour s’imposer à la société mène à ce que l’on assiste aujourd’hui. Il y a incompréhension des droits et libertés. Il ne faut pas voir la loi dans le sens où l’on est seul sur la Terre. Mais dans ce qu’elle implique dans la vie de tous. S’invoquer d’une loi suprême pour restreindre le droit des autres à cause d’une croyance personnelle, d’une émotion personnelle ou d’une sympathie personnelle est une entorse terrible à ladite loi.

C’est imposer aux autres ce que l’on croit. C’est une terrible pression à la conformité de quelques-uns, majoritaires ou pas, objet honni par ladite loi.

La lettre est belle, mais l’esprit fait foi de tout. Le principe de la Charte est bon mais est appliqué avec des œillères. Il faudrait expliquer tous les tenants et les aboutissants de cette loi à tous. Créer un cursus au niveau du secondaire et du primaire, pour nuancer, au fur et à mesure que le jeune grandit, ce qu’est la loi. En ce sens toutes les lois devraient y passer. Mais c’est semble-t-il trop exiger de l’école. Mais les textes de loi, s’Ils étaient réécrits en langage simple et courant, feraient d’excellentes bases pour la compréhension de la lecture, du français, de la philosophie de vie et de bien d’autres aspects de la vie en société.

Je suis un idéaliste, je le sais, mais j’ai, il me semble le pouvoir et le devoir de dire ce qui est possible. Ce que je dis est possible, non seulement possible mais, désirable. Alors pensez-y, informer les jeunes de leurs droits et des lois, n’est-il pas les former à la vie en société? N’est-ce pas un des buts premiers de l’ÉDUCATION?

Bertrand (@BDmoi)

Personne n’a choisi.

Personne n’a choisi le virus, ni le moment, ni la force, ni ce qu’il implique. C’est dit. Le reste est simple. Il faut cesser de se plaindre. Assumer de vivre en ces temps. Ce n’est facile pour personne. Geindre et se plaindre augmente la douleur.

Toutes les gens, ou presque, ont leur histoire de ce qui leur manque. Puis-je vous le dire d’une autre façon? Fermez-vous. Cherchez ce qu’il y a, pas ce qu’il n’y a pas.

Aux médias? Fermez-vous. Donnez les faits et laissez le supputations et le conditionnel de côté. Une bonne dose de réalisme et de concret aiderait le moral des gens. Ce n’est pas un problème de santé mentale. c’est un problème de moral et de morale. Vous manquez totalement de morale. Vous essayez bassement de surfer sur la vague. Vous assénez des coups sans cesse au moral des gens. La communication anecdotique des incartades de tous et chacun, dépeint un environnement déprimant et triste. C’est une réalité, mais on vit en ce moment. Ce n’est pas LA réalité où la majorité, grande majorité des gens font ce qu’il faut.

Faites partie de la solution. Vous êtes plus que partie du problème, vous semblez être le problème.

Bertrand (@BDmoi)