À quoi servent les émotions?

Je connais l’histoire des émotions et ce qui s’en suit. Peur de son environnement, des dangers qu’il représente et tout le tralala. Que ça sert à déclencher des hormones qui nous préparent à courir ou à affronter le danger. Mais est-ce bien utile dans notre monde d’aujourd’hui, dit civilisé?

La recherche d’émotion est une recherche vaine. Elle empoisonne la vie des gens. À tel point, qu’elle les rend fous. Oui, je sais, j’ai besoin de m’expliquer. Alors embarquez ou débarquez c’est comme vous voulez. :-)))

Par où commencer? Disons par les menaces réelles. Il y a l’imminence de la menace qui joue dans l’équation. Savoir que l’on va mourir, un jour, ne procure pas la même émotion que lorsque l’on voit une auto foncer sur nous. C’est certain. Donc l’intensité de la menace et son instantanéité y joue pour quelque chose.

Un autre facteur qui joue sur l’émotion est la répétition. Plus il y a de répétition et moins il y a d’émotion. C’est ce qu’on appelle l’habitude. À l’inverse moins il y a répétition, donc plus inattendu, plus il y a d’émotion.

On vient de voir que les attentes jouent sur l’émotion. C’est un gros facteur. Relié à la surprise de l’événement.

Mais il y a aussi les aspects, dit positifs, des émotions. Un chose agréable, non attendue, arrivant, cela provoque une émotion de joie ou de dégoût, qui dure le temps qu’elle dure et est de moins en moins intense.

Hans Selye a découvert le stress. Mais en fait qu’est le stress si ce n’est le niveau relatif de nos émotions.Positives comme négatives. Plus on est stressé, plus on a le sentiment d’être vivant et pas nécessairement en contrôle de sa vie. Par contre moins on est stressé plus on a le sentiment de contrôler sa vie.

Les émotions semblent donc être directement relié au sentiment de contrôle que l’on a de sa vie. Grave hypothèse. Car elle implique tant de chose qu’elle m’amène à me poser une question sur le sens de la vie. J’ai souvent dit: le sens de la vie est unique il est de la naissance à la mort. Le parcours de la vie est unique pour chacun d’entre nous. Donc, en conséquence la route est d’une certaine longueur mais a toutes les largeurs des émotions.

Pour s’entendre ensemble et s’entrechoquer moins dans nos déambulations ne faudrait-il pas amoindrir les émotions? Les émotions rendent-elles la vie si belle? J’en doute fortement. J’aimerais bien en discuter avec vous, personnellement. Si le cœur vous en dit laissez-moi un commentaire ou communiquez avec moi sur Twitter. J’en serais très heureux.

Les implications sont tellement vastes qu’il y aurait une encyclopédie des émotions à écrire. On en a répertorié 7 de base. Mais les réactions aux émotions de base sont infinies dans la réalité. Quand on se borne à regarder la manifestation des actions on en oublie d’en venir à la source de l’émotion. Donc les émotions sont-elles utiles? Nous aident-elles dans la vie ou pas? Individuellement ou socialement? La question reste entière.

Bertrand (@BDmoi)

S’insurger?

Quelle est la folie qui a saisi les médias. Toutes les nouvelles qu’ils montrent ne servent pas à informer mais à exaspérer. Ils veulent faire le buzz et attiser les émotions. C’est triste parce que la majorité des gens qui s’insurgent, ont une idée déformée du monde.

S’insurger n’avance à rien. Ça pollue votre cerveau et détruit votre journée. C’est facile à dire et la pratique et l’habitude de rationaliser viennent avec la pratique. C’est, au départ, un travail fastidieux. On peut cependant y arriver assez rapidement si on s’y astreint.

Essayer d’évaluer à sa juste valeur, sans exagérer la portée, est dur. Tous les stimuli que l’on reçoit des médias omniprésents et retransmis sans fin par des personnes inconscientes, nous amène à douter de notre sanité.

Relativiser les choses est un signe de santé mentale. Mais, encore plus, est-ce un excellent exercice de civisme. Participer à désamorcer les crises d’indignation est le véritable signe de considération pour les autres.

La laideur existe, oui, mais en si petit nombre relativement à la quantité d’individus sur Terre. Il nous faut revenir sur Terre et prendre conscience de notre pouvoir infini sur nous et infime sur les autres.

Bertrand (@BDmoi)

L’argent ne salit rien!!!

L’argent ne salit rien. Ce sont les gens qui salissent tout. Salir l’intention des autres, salir la réputation des autres, salir la chance des autres… Tout est bon à salir. Quand l’argent arrive à eux c’est normal, ça leur est dû, ils le méritent. Mais quand ça arrive aux autres, c’est sale et c’est injuste.

Qui suis-je pour parler? J’ai beau jeu je suis techniquement pauvre. je dis bien techniquement parce que je me considère extrêmement riche. J’aime ma vie même si je n’aime pas la vie, la vie voulant dire les vivants, surtout les humains. Mais je suis pour l’égalité, je déteste autant les femmes que les hommes. Pas personnellement mais, personnellement. Individuellement. Le manque total de cohérence de leurs actes et de leurs paroles, de leurs dires aux enfants et des démonstrations qu’ils leur font…

On a retenu tous les mauvais côtés de la religion catholique et on a tout jeté les beaux principes. Ainsi on pardonne à tous, parce que qui n’a jamais péché et on a oublié fait aux autres ce que tu voudrais qu’on te fasse. La bible est épaisse et regorge d’exemples.

Alors en ce temps des fêtes de pandémie, prenez votre gaz égal. Regardez-vous personnellement, honnêtement pour une fois, dans votre globalité et non pas anecdotiquement. Que cette occasion soit celle qui annonce un véritable changement de personnes, de société et d’humanité. On a la connaissance pour établir une vraie augmentation de civilisation. Comme n’en a jamais connu l’humanité. Mais, vivant dans un monde de bizounours, je sais que ça demeure une vue de l’esprit et que les coeurs sont minoritaires face aux porte-monnaies. Une dernière chose, dieu est peut-être infiniment bon mais, probablement pas infiniment aveugle. :-)))

Bertrand (@BDmoi)

Ce que Dan Bigras ne m’a pas laissé dire au 98.5

Comme je lui avais dit auparavant, il ne me laisserait pas parler. C’est ce qui s’est passé. J’ai été flushé et ça ne me fait rien. Je lui ai demandé s’il voulait le fond de ma pensée. IL m’a répondu:” c’est pour ça qu’on fait des lignes ouvertes”. Je suis un excentrique, déjanté, hors du commun. Vous qui lisez sporadiquement mes écrits le savez déjà :-)))

Qu’est-ce que j’ai dit de si terrible pour être flushé? J’ai, textuellement, dit ceci:

Depuis que la Terre est Terre, depuis le début des temps, un mot n’a jamais, ou presque, fait mourir personne. Cette affirmation est réelle et se tient debout dans l’analyse la plus exacte des mots qui la composent. Ce sont les gens et les émotions qui ont fait mourir des gens. Je ne me suis jamais rendu à émotions j’étais flushé.

Les mots ne sont que des sons et des symboles. Ils n’ont aucun pouvoir. Ce sont les gens qui les interprètent à leur façon, chacun d’eux indépendamment du sens et de l’intention de la personne émettrice.

Donc appelons un chat un chat et disons ce qui mérite d’être dit. Ce qui arrive après l’émission de mots n’est absolument pas relié à l’émetteur. C’est la façon de le recevoir qui fait foi de tout. Alors qu’On me dise que quelqu’Un a été provoqué, à moins que l’On ait pris un couteau ou une épée, c’est totalement faux. Quelqu,Un s’est SENTI provoqué. C’est pas pareil. Mais cette logique me pousse à ne plus vouloir vivre.

Je ne veux pas mourir, j’ai une vie agréable, qui tourne bien autour de mon chat et de mes rares Amis. Mes Amis sont des Amis. Ils me connaissent et m’acceptent comme je suis. Je peux leur dire exactement ce que je pense, comme je le pense. Ils ne me comprennent pas du premier coup. Mais en s’expliquant on se comprend. J’ai une pensée extrêmement précise. Extrêmement supporté par un certain vocabulaire.

Alors quand je dis que je n’ai pas le goût de vivre c’est dans le monde que propage les médias. Ce n’est pas la vraie vie et c’est pour ça que je vis encore. Si j’étais totalement cohérent je me suiciderais car je déteste ce que les gens font de leur vie, mais, ça leur appartient. Alors je me couche à 6 heures le soir, car je suis fatigué, et je me lève à 3 ou 4 heures le matin parce que j’ai assez dormi.

Alors rien n’est parfait sur Terre, même ma grande cohérence.

Bertrand (@BDmoi)

Cheminement de ma folie!!!

Comment je suis devenu fou ou l’histoire de ma misandrie, misogynie, bref, ma misanthropie. L’énorme contradiction qu’il y a entre les nouvelles et les actes des gens que je vois est telle que je ne puis que me considérer fou. La folie étant la déconnexion de la réalité. Donc la réalité de ce que je perçois autour de moi, est très différente de la réalité diffusée par les médias.

L’ambiance autour de moi est cohérente et même s’il y a des différences entre ce que je pense et les actes que je vois faire par d’autres personnes, ce qui est évident parce que supposément tout le monde est différent et a droit à son opinion, me donne à penser que j’existe réellement et que ce n’est pas être égocentrique que de penser que les médias existent.

Mais je ne peux concilier le monde des médias et la santé mentale des gens qui occupent des postes à l’intérieur de ceux-ci. Rien, mais rien, n’est cohérent. On donne tout l’espace à la pensée de groupuscules et on généralise à outrance le moindre mouvement dissident.

Alors je ne sais si c’est de même pour vous mais, je prends scrupuleusement mes médicaments, j’en ai plusieurs, et j’ai pris rendez-vous avec mon psychiatre au mois de janvier. J’espère que 2021 m’apportera la santé mentale, ou du moins le sentiment de vivre dans un monde réel. C’est la grâce que je me souhaite, et je vous la souhaite aussi. Bonne année 2021 si celle-ci se pointe enfin.

Bertrand (@BDmoi)

Réalité?

La réalité est dure à assumer. La justice (petit J) n’existe pas. Elle ne peut exister. Elle ne peut réparer le tort fait à la victime. Elle ne peut surtout pas protéger la victime avant le fait. C’est le rôle de la police et encore.

Les gens, dans toutes les positions font leur jugement. C’est leur affaire. Faut-il se surprendre que l’on soit dans un monde de fou. Les médias montent la chose en épingle. La couronne n’a pas établi, hors de tout doute possible, que la chose s’est produite de la façon dont elle a voulu le faire voir.

Il n’y a aucun système humain qui puisse être juste à 100%. Penser autrement est faire preuve d’une grande naïveté, pour ne pas dire autre chose.

L’affaire est dite, la victime a parlé et elle est soutenue, la victime a perdu son empire et sa réputation. IL n’y a que deux victimes et elles sont les seules à pouvoir départager la réalité, et encore. Leurs souvenirs sont teintés par une multitude d’années et de souvenirs rajoutés.

Alors, l’eau va couler un peu et les médias vont passer à d,autres choses. Mais les victimes demeureront les victimes.

Bertrand (@BDmoi)

Le café intensifie la folie?

S’il est possible de s’interroger sur tout, personne ne peut nous interdire de nous interroger, il n’y a pas d’intermédiaire entre nous et nous, alors le café intensifie-t-il la folie? Quand je me lève le matin, je prends mes médicaments dans un état proche de la nullité de pensée. Comme bien des gens j’ai ma routine. Je pars ma cafetière, que j’ai préparée la veille, je donne les bonbons au chat qui n’attend que ça, et ainsi est-ce le jour de la marmotte à tous les matins.

Mais, dès que j’ai bu quelques gorgées de café, je passe en mode actif. Mes pensées s’animent et se promènent au gré de mes intérêts. J’ai écrit quelques 800 textes depuis que mon fils m’a fait cadeau de WordPress. Il y a quelques répétitions mais pour établir des nuances. Est-il fou de continuer, sous l’influence indue du café? C’est fou mais, ça me plaît. Je ne le fais pas pour être lu mais j’écris, tel un phare dans la nuit, pour indiquer des écueils sur les rives de la vie.

Je n’épilogue que sur la petite partie de réalité que je perçois. Il est un mot qui me définit, d’après moi, c’est cohérence. Je pense ce que je dis et je fais ce que je dis, la plupart du temps. J’ai un temps infini devant moi, jusqu’à temps que je n’en aie plus. C’est une façon de penser qui me plaît énormément. Je fais ce qui me plaît et je ne fais pas le reste, c’est implicite. Je ne m’intéresse absolument pas à ce que je ne fais pas. Là est tout mon bonheur et la source du malheur de tant de gens qui n’ont que regrets.

Être fou est-il être en vie? Attendez, je vais aller me refaire du café, pour voir. En attendant demain, bonne journée à vous et peut-être est-ce le temps d’un bon café?

Bertrand (@BDmoi)

Comment se crée la psychopathie?

Une société, psychopathe, peut-elle créer autre chose que la psychopathie? Les politiciens sont psychopathes, les médias sont psychopathes et les gens sont individuellement psychopathes. Mais,qu’est-ce qui est signifié par le mot psychopathe.

Le psychopathe est une personne souffrant d’un important trouble du comportement. Ce trouble se traduit par un comportement fortement anti-social. Il agit de manière très impulsive, dans le but de « détruire » psychologiquement et/ou physiquement l’individu.

Ici il est question de comportement et pas de pensée. Donc en théorie il n’y a pas beaucoup de psychopathe. Il peut ne pas agir et surtout pas de façon impulsive mais planifiée. Donc, en conséquence on a un gros problème de définition.

Être psychopathe serait-il manquer d’empathie? Beaucoup de gens ressentent de la sympathie mais presque personne de l’empathie. Empathie voulant dire ressentir ce que l’autre ressent.

Tout ça pour dire que le monde existe-t-il réellement? Je commence à en douter fortement. L’Univers entier n’est-il que le produit de mon imagination absolument fertile?

Bertrand (@BDmoi)

Le but de la vie!!!

Le but de la vie est-il de ne pas avoir de but ou de réaliser qu’il n’y a pas de but dans la vie? La réalité réelle? Il n’y a que la vie. Elle semble être vraie, mais l’est-elle?

Est-ce un effet de mon imagination? Une partie de mon rêve? N’y a-t-il que mon âme qui s’invente un corps et un univers où les atomes sont les permutations possibles des principes que j’ai imaginés? Suis-je un ordinateur absolu qui effectue tous les calculs possibles en une suite que l’on appelle la vie?

Tant de questions sans réponse? Mais il est une question qui ne se répond que par le monde est fou. Pourquoi les gens émettent-ils des désirs personnels quand ils ne sont pas prêts à exaucer le désir personnel d’un autre?

Bertrand (@BDmoi)

Annuler son vote?

C’est fou mais j’ai l’idée que, annuler son vote, est l’analogie qui explique la démence de la société actuelle. Il y a le côté de celui qui annule son vote et celui de la société qui ne compte pas son vote annulé dans les résultats sauf que de le mentionner.

Tant d’implications dans une phrase si courte. Mais n’est-ce pas le cas de toutes les phrases aujourd’hui? Il y a l’idée de base de communication dans la tête de l’individu émetteur et l’idée finale reçue dans la tête du récepteur. Fini la théorie de la communication. Mais c’est un fait que les gens ne savent utiliser les mots et encore moins les phrases. Avec le déficit d’attention chronique de bien des gens, parler de l’incompréhension d’un texte par la majorité des gens est déjà au-delà de la compréhension de plusieurs (50% d’analphabètes fonctionnels).

Aujourd’hui, au royaume de l’émotion, la forme prend toute la place et détruit presque totalement la signification du message. Qu’un individu comme Mathieu Bock-Côté existe est une normalité, il fait partie du 1% ayant le plus la capacité de concevoir et développer une idée en mots. Le problème c’est qu’il l’exerce devant une grande majorité (mettons 80%) de personnes qui sont incapables de l’absorber.

Ceux qui se déplacent et vont annuler leur vote parce que le choix offert est inadéquat sont des Mathieu Bock-Côté du vote. Mais comme le reste, la société n’écoute pas. Elle entend mais ne comprend pas.

Tirez moi des bûches (de bois, pas de Noël je suis diabétique :-))) mais, c’est ça. Au moins aurai-je du bois pour me chauffer cet hiver.

Bertrand (@BDmoi)