Il est temps d’abolir le “SI”

Il est temps d’abolir le mot “SI”. Aujourd’hui est. Mieux ou pire que prévu. Tout dépend des individus. Mais, ceux qui avaient à manger ont encore à manger. Ceux qui avaient de la difficulté à manger ont encore plus de difficulté à manger. Les gouvernements, pour éviter la panique, taisent la durée probable des conditions de distanciation sociale. Mais la situation n’est pas, en elle-même, pire ou meilleure. Elle est. Il faut absolument vivre à la vitesse du temps. Celui-ci est lent et ses effets durent.

Vous verrez la différence entre ici et les États-Unis. Elle sera ce qu’elle sera. L’important est de toujours demeurer en contact avec la réalité actuelle. On respire, on mange, on dort et on a du papier de toilette en masse. Il faut se raisonner. Facile à dire et plus facile à faire que l’on pense. C’est comme arrêter de fumer. L’envie revient de plus en plus loin l’un e de l’autre. Il faut un effort de volonté, qui n’a qu’à durer quelques secondes.

En conséquence, quand on utilise l’infâme mot “si”, il faut se reprendre et remplacer par le mot “quand”. Au temps où il faudra on fera. Entretemps, nous avons tous les outils pour demeurer en contact les uns avec les autres. Contact psychologique peut-être? Mais, contact.

Il y a des émissions qui sont inspirantes et des émissions qui sont désespérantes. Sachons faire la part des choses. L’argent est la valeur sur laquelle notre société était basée. Ça changera peut-être. Mais c’est aussi l’occasion où les choses peuvent changer. Entretemps les moyens de se divertir viennent à nous pour ceux qui ont la télé. Servez vous-en et surtout reposez-vous. Dormir permet de faire plus facilement la part des choses.

On se tient en contact et on se repose.

Bertrand (@BDmoi)

Tant de temps, tant de temps perdu.

De plus en plus de gens ont beaucoup de temps devant eux. Ils sont en confinement, volontaire ou presque. Du temps, dont on se dit manquer en temps normal. Maintenant, les gens ne savent que faire. Des gens se réunissent pour se dire que c’est plate de pas pouvoir se réunir. (sic) Beaucoup de médias répandent la folie d’un gouvernant qui identifie un coupable à la crise actuelle.

La réalité? Absolument pas importante. Densification de l’humanité, concentration dans des mégapoles, course à l’exploitation dans les pays les plus surpeuplés et les moins avancés. Chercher un coupable est aussi illusoire que de chercher la finalité de la vie. Personne n’est coupable et tout le monde est coupable. Tout ce temps à s’interroger sur le pourquoi, individuellement est du temps perdu. À la recherche du temps perdu? Proust l’aurait trouvé maintenant.

Il est beaucoup de choses que l’On peut faire de tout ce temps. La principale c’est de ne pas s’interroger sur le sens de la vie. Il faut s’interroger sur le sens de sa vie. Réfléchir, retourner sur son passé, surtout sur ses bons coups. Essayer de trouver une façon de profiter de l’enseignement de ces bons coups pour les répéter dorénavant.

S’interroger sur les autres et sur les coupables est tellement une perte de temps. À un individu qui a perdu son emploi, j’ai dit, le virus est peut-être une chance qui t’es donnée de trouver un emploi à temps plein? Toi qui est saisonnier. Les temps sont durs pour tous mais redeviendra potable pour chacun. Il faut se préparer, pas seulement espérer. C’est le moment de s’interroger sur le futur. Pas morigéner sur le passé. Le passé ne sert qu’à nous donner les enseignements sur nos qualités et nos défauts, Ok disons imperfections.

Essayons de dompter le hamster qui s’est réveillé en nous. (facile à dire mais 100 fois sur le métier remettez votre ouvrage. Aussitôt qu’on s’en rend compte on change ses pensées déprimantes ou accusatrices en pensées positives)

Bertrand (@BDmoi)

Sollicitude!!!

De la sollicitude:soins affectueux. J’ai 66 ans, je suis diabétique et j’ai une toux d’ancien fumeur. Je prends ma température et j’observe mes kleenex. Je surveille tous les signes de contamination possibles. Je vais très bien. Mais, il y a un mais, je ne peux rester sans aider les autres. Je suis transporteur bénévole et il y a des gens qui sont mal pris. Dans notre région il n’y a pas de transport publique. Les distances sont grandes, l’hôpital est à 20 km. Les personnes âgées, qui ont des rendez-vous à l’hôpital, pour le cancer, l’hémodialyse ou autre et les rendez-vous qui sont maintenus, que doivent-ils faire?

J’apporte des paniers d’alimentation chez des gens qui ont besoin de nourriture. C’est encore plus crucial en ces temps-ci. Elle est où la balance? Protéger les autres en se protégeant soi-même? J’ai téléphoné à 4 personnes que j’ai à mon agenda pour les semaines à venir. Ça m’a pris 2 heures. Elles avaient besoin de parler. Je leur ai assuré que je les transporterais si leur rendez-vous tenait. Je leur ai aussi recommandé d’appeler l’hôpital pour savoir si leur rendez-vous tenait. La plus jeune, 82 ans, était la plus touchée mais je pense l’avoir laissé dans un état calme et relativement serein.

Donc, il est possible de penser aux autres en ces temps d’isolement relatif. Je n’écris pas ceci pour me vanter. Je le fais pour démontrer, qu’outre le contact direct, il existe une multitude de façon de s’occuper des autres sans se mettre en danger et en ne mettant pas les autres en danger. Le téléphone, l’ordinateur, la tablette… Tout existe. Non seulement on a plein à se dire, mais on a tout le temps de le faire.

Prenons donc, le temps, on l’a, pour s’enquérir et donner des nouvelles aux autres. La distance physique n’a aucune importance. Nous avons tous les moyens de proximité de nous serrer les coudes.

Bertrand (@BDmoi)

Où en êtes-vous?

Quelle est votre situation personnelle? On se doit de se poser la question individuellement. Il faut absolument relativiser la situation. Si vous n’avez pas de contact avec l’extérieur, les gens à moins de 2 mètres ou n’êtes pas allés en voyage vous avez très peu, mais très peu de chance d’attraper le virus. Moins que de gangner à la 6/49. Ma femme de ménage a été chez une personne qui revient d’Allemagne. Celle-ci le lui a dit après qu’elle a fait le ménage. C’est irresponsable mais c’est ça le monde. Mon appartement sera plus poussiéreux et le plancher plus sale un peu pendant 2 semaines de plus.

Donc l’inconvénient, de ne pas sortir et de se tenir loin des personnes de 70 ans et plus, pour ne pas les mettre à risque, est des plus raisonnables. Aplatir la courbe ne fait pas disparaître les virus mais permet de répartir dans le temps les gens qui seront affectés.

Pour beaucoup de gens, le problème n’est pas le virus mais les conséquences financières du ralentissement. Encore là il faut mettre les choses en perspectives. C’est beaucoup plus sérieux, pour beaucoup plus de monde, et beaucoup plus immédiat que le virus lui-même. Il faut avoir de la compassion pour les gens qui subissent des contrecoups financiers dans la vie de tous les jours. Il ne faudrait pas que des gens perdent leur logement ou aient à jeûner par manque d’argent.Donc, on ralentit nos activités sociales mais on augmente notre sollicitude envers les autres. Se tenir loin (1 mètre) physiquement mais être proche humainement. N’oubliez pas, jamais, que nous sommes parmi les privilégiés. Nous avons l’expérience des autres et la volonté de nos gouvernements pour rendre la crise, oui c’est une crise, dans les plus petite affectation possible. Il y aura probablement des millions de personnes qui souffriront, légèrement ou plus, du virus. Mais encore plus des millions de personnes qui s’en sortiront. Plus de 95% des gens s’en tireront. Donc il faut prendre le temps de vivre et ne pas trop s’en faire. Respecter les consignes et réapprendre à se communiquer d’autre chose que du virus.

S’entraider est le mot clé. L’entraide ne peut venir que par la communication. Soyons tissés serrés psychologiquement même si un espace physique doit nous séparer.

Bertrand (@BDmoi)

Comment être bien servi quand …

Comment être bien servi quand tout le monde se sert? À en croire les médias, tous se sentent mal servis, souvent c’est vrai. Mais nous sommes un société gâtée, pourrie. Les gens pensent que les autres sont à leur service, c’est ce qu’on essaie de nous faire croire. Mais la réalité est bien pire. La plupart des gens font le moins possible pour essayer d’en retirer le plus possible. C’est ce que beaucoup pensent la réalité.

La réalité n’est pas ainsi. La réalité est multiple et discontinue. Il y a des gens, assez nombreux, qui sont très mal outillés pour rendre les services qu’on attend d’eux. Que ce soit en santé, en éducation ou ailleurs dans le privé, on ne cesse d’exiger des autres ce qu’ils ne peuvent donner. Tout ça pour quelques dollars et très peu de considérations.

Le vent de folie qui règne sur notre société part d’en haut. Les gens au gouvernement, mesurent tout à l’argent. Il n’y en a jamais assez. DE tout bord tout côté on fait virevolter des $$$. Un $ n’a jamais changé une couche, il n’a jamais enseigné aux jeunes, il n’a jamais considéré le sort d’une fillette…

Nos yeux sont obscurcis par les lunettes des médias qui ne parlent que des horreurs et des promesses irréalistes du système. Il faut reprendre confiance dans nos sens et en notre pouvoir. Il faut ressentir sa vie et ne pas se laisser influencer par ce foutu message défaitiste des chroniqueurs et des politiciens qui ont toutes les réponses dans l’opposition et qui représentent supposément le pouls de la population. Ce regard qu’on nous projette est tellement déformé.

Regarder autour de vous, avec vos yeux, les gens sont-ils si terribles que ça? Mais qu’est-ce qui nous pousse à être si défaitistes? Nous on est bien les autres sont pourris? N’oubliez jamais que les autres sont des nous. Il y a du mal dans le monde, on le sait, mais là on nous le martèle.

Le monde des communications est pourri. Pourri par l’argent. Il met en scène des gens pourris qui ne mènent rien mais font plein de promesses irréalistes. Il est temps de se prendre en main et de servir autour de nous. Si chacun sert autour de lui, tous nous serons servis par des gens attentionnés. Mais ça ne fera jamais la une des médias.

Bertrand (@BDmoi)

14 jours qui changent le monde?

14 jours, la période d’incubation du covid-19, une période qui dure et perdure. Mais ça durera plus longtemps. Il y aura pandémie, c’est déjà parti. on estime de 20 à 60 % des gens qui seront affectés. Pas morts mais affectés. À 2.3% de taux de décès ça fait environ 1% de la population qui va décéder.

Il existe des moyens pour combattre le virus. On parle d’huile essentielle de thym ou d’autres moyens. Mais, le principal moyen c’est l’isolement. L’Italie a pris le mord aux dents et soumet le pays à l’isolement volontaire. Quand on recoupe l’information avec le fait qu’un individu sur trois, au Québec, vit d’un chèque de paie à l’autre, cela laisse penser que l’inquiétude des marchés est judicieuse.

Parmi toutes les calamités que l’humain a envisagées, il y a celle de maladie issue de l’Asie suite à la nutation d’un virus chez les oiseaux. L’épisode de la grippe aviaire nous en avait donné un aperçu.

Cela changera-t-il le monde? Je crois que cela accélérera la tendance. Tendance qui existe depuis longtemps, soit celle du repli sur soi. Non seulement y aura-t-il interrogation sur ce que l’autre peut nous rapporter immédiatement mais il y aura aussi la question si le contact pourrait être dangereux.

Je me pose la question, toute cette panique autour du covid-19 ne fait-elle que faire durer la période de troubles? Ne pas s’exposer est une chose, mais courir à l’anxiété et en avoir peur comme de l’ébola est exagéré. Ralentissement de l’économie? C’est certain, et c’est peut-être bien. Peut-être? Oui car c’est un exercice préparatoire à ce qui peut se passer en cas de ralentissement, permanent, de l’économie mondiale. L’offre dépassera la demande et ce qui a permis l’augmentation des prix amènera une déflation possible. Ce processus accélérant la baisse des prix.

On en parle depuis des lustres en économie. Qu’un jour il y aura une limite à l’expansion continue. Est-on rendu à ce jour? Est-ce une secousse tellurique qui annonce une plus grande secousse? Qui sait? Une chose est certaine, nous sommes dans une période de changement profond.

Bertrand (@BDmoi)

Faut-il être fait fort?

Faut-il être fait fort pour exprimer son opinion sur les réseaux sociaux? Je ne crois pas. Il faut être convaincu qu’on a le droit de s’exprimer et de laisser les autres s’exprimer. Ce pour quoi il faut être fort c’est pour encaisser les extrêmes qui s’expriment sur les réseaux sociaux.

Bien des personnes ne s’expriment qu’au summum de l’exaltation ou aux tréfonds du désespoir. Quand les choses vont relativement bien, elles se taisent. Les réseaux sociaux laissaient poindre un espoir de communication entre les gens. Espoir largement déçu. L’art de la conversation ne s’est jamais développé sur les réseaux. Les gens viennent déverser leur trop plein émotionnel et , libérés, s’en vont.

Je passe beaucoup de temps sur Twitter et j’observe et prend des notes. Grâce à Tweetdeck j’ai un large panorama. Beaucoup de personnes ne font que répéter ce que d’autres ont supposément dit. Les fausses citations sont nombreuses. Pas nécessairement fausses dans leur discours mais dans leur attribution. Einstein n’a jamais eu le temps de faire sa théorie si on s’en tient à toutes les choses qu’il a dites.

Mais ce qui m’étonne c’est la bipolarité exprimée sur les réseaux. Tout semble blanc ou noir, pour ou contre, la société semble prise de tremblements extrêmes des émotions. Mais, ce ne sont que les apparences. Il faut savoir que seulement 15 à 20% des gens s’expriment, et en plus il faut savoir qu’il faut chez beaucoup, un certain niveau de motivation pour s’attirer les peut-être retours à ses propos.

La liberté d’expression est mal comprise ou mal exercée. Mais qu’est-ce que présuppose la liberté d’expression? Celle-ci part du principe qu’on cherche à améliorer l’environnement dans lequel on s’exprime. Ce principe est cependant faux dans notre société. Les gens n’ont que leur point de vue personnel en tête. Ils écument leurs émotions sur les réseaux. Chercher à améliorer le sort des autres est un très faible proportion des interventions.

Donc il faut vraiment vouloir comprendre la société par ses extrêmes. Mais on n’a pas besoin des réseaux sociaux pour ça. L’ensemble des médias traditionnels y arrivent très bien. Peut-être est-ce pour ça qu’ils déclinent continuellement? Des opinions on en a plein sur les réseaux sociaux, de toutes les sortes. Ce dont on a besoin c’est de l’information vérifiée. Moins on en a moins les gens achètent, moins les gens en achètent moins on en a.

Bertrand (@BDmoi)

Changement d’heure changement d’humeur?

L’hiver est long, l’hiver est plate. La complainte de février, mars. Mais ce changement d’heure règle-t-il l’affaire? Certains se plaignent de manquer une heure de sommeil. Et tout le tralala. Mais c’est aussi le moment où l’on a fini de souper dans la noirceur. Il y a des pour et des contre.

Pendant ce temps, on célèbre la journée de la femme. Une journée qu’il faudrait faire disparaître par le fait qu’on a réussi l’intégration totale. Mais ce n’est pas le cas. Il y a encore du chemin à faire mais, comme la cigarette, il y a une poche de résistance. Quelle est la tendance? Nul ne le sait. Pourquoi les choses sont ainsi? Un ensemble de raisons mais toutes se résument à un égocentrisme forcené de chacun. Chacun définit la situation totale comme il la voit.

Tout ce temps, on est en 2020, et les choses sont ce qu’elles sont. Faut-il espérer? Faut-il désespérer? Quant à moi, j’ai confiance au printemps et bientôt il y aura des oiseaux pour nous réveiller le matin de leur chant. Une nouvelle société émergera et elle sera ce qu’elle sera. Ni plus ni moins bonne que celle que nous avons. Ce qui changera sera peut-être le fait que chacun aura son idée et qu’elle ne sera pas bâtie sur la propagande des grands médias qui perdent graduellement leur importance.

Bertrand (@BDmoi)

Je n’en ai que faire!

Je n’en ai que faire de ce que les autres pensent de moi. Mais j’en ai beaucoup contre ce que les autres pensent des autres. C’est la folie du jour. Le plaisir du jour c’est de voir l’autre se casser le cou (Félix Leclerc). Non content de voir l’autre se casser le cou on se mêle de l’aider. Dans un monde où les apparences sont la mesure, il n’y a de mesure à ce qu’une personne peut penser d’elle-même.

Les jeunes, à l’âge ingrat, sont particulièrement vulnérables et sont particulièrement attachés aux réseaux dont c’est la particularité. N’est-ce pas particulier que le taux d’anxiété augmente chez les jeunes. On se prépare une société de névrosés. Pas qu’elle ne le soit pas déjà mais qu’elle soit en expansion.

La seule voie de sortie que les jeunes aient de pouvoir survivre est de se déconnecter. Mais il ne semble pas que ce soit la tendance. Alors il faut faire quelque chose. Mais nous sommes tellement obnubilés par l’argent que l’aspect humain disparaît de toute la sphère politique ou sociétale. Il existe des poches de résistance mais celle-ci sont tellement dispersées qu’il n’y a pas d’effet de synergie.

Je dresse un portrait sombre du futur. Mais comme je l’ai dit je n’en ai que faire de ce que les autres pensent de moi. Mais peut-on cesser de harceler les autres de ce qu’on pense d’eux et les aider à réaliser leurs talents?

Bertrand (@BDmoi)

L’intelligence artificielle?

L’intelligence artificielle est une brouillard où chacun peut voir ce qu’il veut. C’est l’intelligence que l’On espère mais on n’aura que la stupidité de l’humain. L’ensemble des préjugés et des stéréotypes y passera. C’est vers quoi se dirige les recherches en intelligence artificielle. La manie de tout amalgamer et de répartir par accumulation est la piste privilégiée actuellement.

Nous sommes, comme en 1950 et après, au moment où l’on projète dans le futur des éléments complètement farfelus de possibilités, toutes plus fantastiques les unes que les autres. L’humanité étant ce qu’elle est il y aura développement dans certaines tâches répétitives et demandant une attention soutenue. Des regroupements identifiables mais perdus dans une mer de stimuli, telles des radiographies. Il y a des choses qui demandent beaucoup d’attention et qui peuvent être dangereuses pour l’usager. Cependant, réussira-t-on à développer l’imagination et l’intérêt de l’humain? J’en doute. Mais aurons-nous la possibilité de nous rendre à ce point? Il y a peut-être des comètes qui sont en route pour frapper la Terre?

Pourquoi ne pas vivre le jour et essayer d’améliorer ce qui se trouve à portée de bras et de voix.

Bertrand (@BDmoi)