D’amour et d’amitié

Les mots sont des outils imparfaits,créés par des êtres imparfaits, dans un monde inconnu. On crée de mots pour définir l’univers, le système planétaire, la planète, les nations, les humains et autres vivants et non- vivants. Chaque humain existe et on a créé des mots pour exprimer son intérieur et ses états conscients ou non. Bon, j’ai à peu près fait le tour.

Il existe 2 mots avec lesquels j’ai beaucoup de difficultés. Il s’agit du mot amour et du mot amitié. Je crois qu’il faudrait en inventer plusieurs autres pour définir les différentes nuances d’attirance et de compréhension et surtout les sentiments différents possibles dans la réalité.

Au point de départ le mot amour, tant proclamé par beaucoup pour signifier tant de choses, inspiration sublime des poètes, comporte, dans l’utilisation exclusive, la notion d’attirance sexuelle. Toutes les attirances sexuelles. L’amour universel n’existe pas. L’Amour des poètes, est faux et n’est que forme et n’existe pas particulièrement dans la vie de tous les jours.

L’amitié, quand à elle existe entre 2 ou plusieurs personnes, à des degrés et pour une durée indéterminés. L’Amitié dont certains poètes expriment indélébilité et la permanence existe très peu dans le monde. Il existe de grands sentiments de compréhension mais pas de mots pour les exprimer.

Donc l’incompréhension qui existe dans le monde, d’après moi, est due en grande partie au manque de précision de nos outils. J’essaie d’exprimer au mieux ma pensée, mais par des mots qui ont une signification pour moi. J’espère que le message passe, mais le choix des mots que j’utilise n’a pas toute la même signification pour vous qui lisez.

Donc quand on dit que l’amour n’existe pas c’est faux et quand on dit je t’aime peut-être est-vrai? Le sentiment qui nous habite est flou et n’est que ressenti. Il ne se transmet pas. Du moins pas encore, pas avec la technologie dont on dispose actuellement.

Le sentiment, généralement exprimé quand on utilise le mot amour ou le mot amitié, est de même nature mais peut prendre une étendue ou une intensité si variable, qu’il faudrait inventer une kyrielle de mots pour les définir.

Voilà donc, pour moi, la cause du manque d’amour et d’amitié sur Terre. Personne ne peut se lier à tout le monde et tout le monde ne peut se lier à chacun, émotivement. Quand cela sera mieux illustré, peut-être nous accepterons-nous mieux, chacun, tel que l’on est? En plus d’accepter le degré d’amitié qui existe entre les gens.

Bertrand (@BDmoi)

Le Bien, le Mal son origine.

On parle souvent du Bien et du Mal. Comme d’une dualité. Mais ce n’est qu’une résultante. C’est le résultat de la Solitude. Ce sont les actes commis en proie à une solitude extrême. La solitude humaine est intrinsèque. On a beau être adulé de millions d’être humains, on est seul. Seul avec Soi. C’est le grand drame, à plus ou moins grande échelle, de chacun. Qu’on le réalise ou non on est seul.

Tellement seul, sommes-nous, que le nous n’est que l’existence de plusieurs solitudes, celle de chacun. On a beau faire et on a beau dire, tout nos efforts sont concentrés à ne pas être seuls. Pour certains, ces êtres rares, ils sont bien dans la solitude. Il faut cependant dire que chacun est pauvre de la personne qu’il cherche et cette personne c’est une autre qui lui soit pareille afin de lui demander qui elle est.

Pour beaucoup,plus on est riche de relations, moins on est seul. C’est faux. Plus on est riche de relations plus on est loin de soi. C’est le drame humain. Je crois, que là est la force des religions. Cette croyance qu’en faisant ci ou ça, que ceci est bien et que cela est mal, on ne cherche qu’à briser la Solitude. Mais de fait nous sommes seuls. Nous nous cachons à nous même parce que nous sommes seuls et se l’avouer nous est intolérable. D’où toutes nos actions envers les autres. Toutes nos pensées, nos actions, nos désirs ne sont que des illusions. La Réalité? Nous nous fuyons.

Quelques hurluberlus tentent d’approcher leur être. Mais, pour le faire, ils doivent se couper plus ou moins des autres. L’homme le moins seul a peu d’amis, mais ceux-ci sont des vrais amis. L’amitié a un pouvoir, celui de briser la coquille de la Solitude. Alors il ne peut souffrir le nombre. L’amour dans tout ça, pour le commun des mortels, c’est de s’éloigner de cette solitude.

La Réalité dans tout ça, c’est que l’union charnelle de deux êtres seuls ne peut résulter qu’en une solitude de plus.

Bertrand (@BDmoi)

Pourquoi sommes-nous différents?

Une amie m’a posé la question:”Pourquoi ne sommes-nous pas nés avec les mêmes dispositions, les mêmes capacités?”. C’est une excellente question à laquelle je me suis tenté une réponse. Mais la réponse ne fut pas satisfaisante parce que je sortais de la simple question. Ma réponse a été: “Parce que.” Depuis, j’y ai réfléchi plus longuement.

La machine humaine, parce que cet organisme est une merveilleuse machine, provient de la jonction de deux zygotes qui se subliment en un. Supposons que ces deux zygotes soient génétiquement identiques à la base. Sauf pour ce qui est du sexe, ce qui est déjà une différence. La reproduction cellulaire, introduit dans le mécanismes un tas de dérèglements. Spécialisation des cellules, échappement de bouts d’ADN, Collision de particules avec l’ADN et tout un ensemble de processus connus et inconnus.

Tout ça pour dire qu’il y a des variations génétiques aléatoires qui se produisent tout au long de la vie, mais, particulièrement significatives au cours de la grossesse. Mais n’est-ce pas fantastique que la machine humaine fonctionne? Avec tout ce qui peut se dérégler?

En plus de cela, différents accidents physiques et psychologiques se produisent pendant la gestation et autour de l’acte de la naissance. Voilà donc, d’après moi, pourquoi nous sommes tous différents à la naissance. Mais, déjà nos parents sont différents. Ce qui est la principale cause au départ.

Mon intérêt principal n’est pas que l’on soit différents les uns des autres. Mais il réside dans ce qu’on en fait. Outil d’incompréhension et de ségrégation. On prend des être différents et on essaie de les mettre dans le même moule. Certains appellent ça l’identité nationale. Est-ce qu’on en sortira un jour? Peut-être, peut-être pas. Mais la globalisation nous entredéchire grandement. Plein de questions se révèlent suite à ce constat. J’y reviendrai à l’occasion dans mes textes. Mais, pour moi, c’est un sujet sans fin.

Bertrand (@BDmoi)

L’indifférence ne mène à rien.

L’indifférence ne mène à rien mais la tolérance mène à tout. Il existe, dès qu’on en fait mention, une grande différence entre indifférence et tolérance. Mais pour le commun des mortels c’est pareil ou presque. La grande différence est l’émotion que le sujet ressent dans chacun des cas.

L’indifférent vogue allègrement d’une situation à l’autre sans se préoccuper de la situation ou de ses effets. Le tolérant, lui saisi toute la grandeur de l’action mais, en individu compréhensif, accepte la réalité de la vie et la différence entre les individus dont on se réclame tant.

L’indifférence est un je-m’en-foutisme total. La tolérance, elle, continue de se préoccuper des gens et des choses et selon ses limites, essaie d’accepter ce qu’il peut changer et surtout d’accepter ce qu’il ne peut changer. Alors, selon cette nuance, le monde est-il indifférent ou tolérant? Le nombre de guerres et de conflits qui existent sur la planète, entre les nations, les clans, les individus tend à me démontrer que plein de problèmes sont issus de l’indifférence. Indifférence du sort de son voisin.

Alors que le sang bouille dans le corps du tolérant face à l’injustice ou à la négation de la situation de l’autre, il y a aussi l’impossibilité de régler tous les conflits. Il faut donc changer ce qu’on peut changer et accepter ce qu’on ne peut change. Mais c’est une notion plus difficile à saisir encore que la différence entre tolérance et indifférence.

Bertrand (@BDmoi)

Tout est question de dosage.

Tout est question de dosage, dans tout. Il en est ainsi de l’humilité et de la fierté. Les deux extrêmes sont pernicieux. Pas assez d’humilité et on écrase les autres, trop on se fait bafouer. De la fierté? Trop on est assommant et pas assez on se trouve ordinaire et moins que ça. Tout est dans la mesure.

Ce sont deux concepts qui se recoupent grandement. Ce sont des jumeaux identiques mais différents. Différents parce qu’un est un jugement personnel et l’autre un jugement des autres. Oh la la! Quelle folie. Non, mais, une grande partie des problèmes de la vie se résout par le dosage que l’on adopte. Mais c’est le travail d’une vie. À la naissance on nous impose un dosage. Il est rarement adéquat. Sois que nos parents nous louangent indécemment ou soit qu’ils nous diminuent continuellement en nous comparant aux autres qui sont si gentils, en public,mais que l’on sait être des petits diables dans la vie réelle.

Je prends cet exemple pour illustrer tout le mal qui nous est fait, à notre insu et à l’insu des autres. Ainsi, ma croisade contre les médias, tire-t-elle sa substance dans cette question. J’en ai contre les médias qui ne sont ni fiers ni humbles. Ils sont vénaux. Ils n’ont que leur intérêt financier en tête de priorité. Que vient faire l’humilité et la fierté la-dedans? Tout et rien. On a beau se dire que l’on a été sur la Lune il y a 50 ans, aujourd’hui on n’en tire qu’une simple remarque cinquantenaire.

On devrait être fiers de nos possibilités et humbles de nos réalisations. Fier parce que nos talents, combinés, ont produit l’utopie mais humble parce que l’on n’utilise pas les talents à bon escient. Ainsi faut-il de la modération mais il faut aussi réaliser que nous sommes appelés à beaucoup plus grand.

Toutes les chicanes de la planète ont lieu à cause d’une fierté déplacée et d’une humilité feinte. La vraie humilité serait de s’apercevoir de la faiblesse de nos efforts et la vraie fierté serait de viser ce dont on est capable, socialement et individuellement. Va-ton y arriver un jour, collectivement et individuellement? C’est la grâce que je nous souhaite ardemment.

Bertrand (@BDmoi)

Est-on responsables?

Poser la question y répond partiellement. Comment? En posant une autre question. Que signifie responsable, quel sens y donne-t-on? Il englobe tellement de facettes que c’en est presque un diamant de haute valeur.

La responsabilité est le devoir de répondre de ses actes, toutes circonstances et conséquences comprises, c’est-à-dire d’en assumer l’énonciation, l’effectuation, et par suite la réparation voire la sanction lorsque l’attendu n’est pas obtenu. Wikipédia

Cette définition, loin de nous rapprocher de l’objectif de définir qui est responsable, nous amène à voir toute l’étendue de la responsabilité. Ce qui m’amène à traiter de ce sujet, c’est l’affaire de “Smile Direct Club”. Le NET semble être le FAR-West des années 1800. Tout y est permis et aucune loi ne semble être en vigueur. Le fabuleux Dr West peut vendre son élixir de son nom. Élixir qui guérit évidemment tout, du mal d’oreille à l’impuissance.

Le Net, n’est pas régi par les lois nationales. Donc est-on coupable d’être crédules? Doit-on être protégé à tout prix? Quelles sont les circonstances et les conséquences dont on doit être responsable des effets? “Each second a new sucker is born” (un poisson naît à chaque seconde) -PTBarnum.

Pensez-y, au Québec, il y a 50% d’analphabètes fonctionnels. Doit-on les protéger, malgré eux? Quel est le devoir raisonnable de la société, la responsabilité de chacun de ses actes?

C’est un dilemme de société qui se promène d’un extrême à l’autre. Actuellement, nous sommes à un moment de déchirement entre les deux extrêmes. Il y a la gauche, et même la gogauche, et la droite, et même l’extrême droite.

Là est le vrai sens de tout l’affaire. Un individu est-il un poisson qui se promène allègrement à la vue de tous les prédateurs ou est-il dans un banc où le nombre lui apporte une certaine sécurité individuelle. QUle niveau de sécurité croyez-vous que l,on doit offrir? Le Net nous pose la question, à nous d,y répondre.

Bertrand (@BDmoi)

Le retour du balancier.

Le retour du balancier ne serait-il qu’une simple affaire de manque de communication? C’en est rendu ma principale hypothèse qui explique le phénomène. Les générations n’ont pas de place où s’exprimer. Les élus ne sont même pas au courant des lois existantes pour voter de nouvelles lois qui vont souvent dans le sens contraire de lois votées auparavant.

Pour qu’il y ait amélioration de la civilisation, ne faudrait-il pas qu’on se renseigne sur le passé pour ne pas répéter les travers? La devise du Québec est “JE ME SOUVIENS”. De quoi? On n’a pratiquement pas d’idée de notre passé, même récent. Alors que ça ne veuille rien dire se constate dans la vie de tous les jours.

Donc, pour faire court, disons que ce n’est pas Twitter qui va y changer quelque chose. Pour certains, c’est vrai parce que j’y crois. Alors il ne faudrait pas espérer un arrêt du balancier au centre de sa course.

Bertrand (@BDmoi)

Tous le palmiers tous les bananiers.

Beau Dommage avait tellement raison qu’ils ont encore raison. Après qu’on sera parti la Terre continuera de tourner. C’est un fait. Pour combien de temps encore? Qui s’en préoccupe vraiment,on ne sera plus là? Les palmiers et les bananiers continueront à pousser.

Ce qui me pousse à dire, sans jeu de mots, que nous sommes inconscients. On n’a conscience du présent, du passé et on se préoccupe abondamment du futur. Ce qui est absolument dévastateur pour la qualité de vie. Ais-je dit vie? Je devrais dire existence, pour plusieurs.

Le fait de ne pas occuper le présent, physiquement et psychologiquement, est une tare qui cause bien des problèmes. Les gens, plutôt que d’être conscients du présent, sont préoccupés du futur, pour beaucoup. Cela vient-il de ce que nous avons dû prévoir les hivers rigoureux, pour survivre dans notre climat? Cela explique-t-il l’avancement technologique issu du nord de la planète? Toujours est-il que nous sommes rendus là où on est déphasé des fluctuations du climat. Une épicerie au mois de janvier peut ressembler entièrement à une épicerie de juillet.

Le labeur de nos anciens nous a amené à une grande liberté. Qu’en faisons-nous? Rien. Les changements se font attendre. Prendre conscience que le temps nous est compté, qu’il n’existe que le temps que nous sommes vivants, est une chose qui transformera les mœurs. Pour le bien ou pour le mal? Je ne saurais dire.

Il est un combat actuel de religions, partout sur la planète. C’est tellement futile. Plutôt que de s’accrocher aux symboles de ces religions, qui ne sont que des symboles, pourquoi ne pas s’attarder au message de celles-ci. Le message, de presque toutes les religions, est une message de vivre ensemble. Le combat du mal et du bien est dans notre tête. Nous le reproduisons dans la société au cas où. Plutôt que chercher la tolérance, entre chacun, on juge de ce qu’on pense que l’autre pense et ça n’a pas de fin.

Alors, prenons conscience de notre vie, et vivons celle-ci dans l’abondance où nous sommes rendus. Se préoccuper de ce que sera demain, nous empêche de vivre et nous dresse les uns contre les autres. On parle de manque de civisme, les gens sont pressés et n’ont pas conscience de vivre la vraie vie. C’est triste, mais, on a les résultats qui sont observables. Je parle des résultats vus de nos yeux, pas de ceux rapportés par les médias qui eux, sont biaisés.

Bertrand (@BDmoi)

Le phénomène de l’affaire Malala.

L’affaire Malala, tout a été dit d’un côté comme de l’autre. Je n’y reviendrai pas. Mais, sur le phénomène qui en a découlé alors là?

Je suis sparadagonflé, comme dirait le capitaine Bonhomme. L’insistance avec laquelle les gens présument, d’un côté ou de l’autre, de choses qu’aurait dit Malala si…

S’en tenir au fait est au-delà de la capacité des gens. Mais que les médias embarquent avec des articles d’un jaunisme de bas étage est hallucinant. Sous prétexte de faire la part des choses, on fait des attaques à gauche et à droite, des supputations du plus haut degré de déséquilibre et tout.

On a pu apprécier ou pas la photo en question. On a pu la commenter ad nauseam. Chacun a pu dire ce qu’il avait à dire. Mais ce que je n’admets pas, c’est qu’on aille au-delà de la photo. Sans que les protagonistes n’aient leur mot à dire. Qu’ils veuillent le dire ou pas. Leur volonté doit être faite.

Les symboles, dans un tel environnement, sont dévastateurs. Pourquoi? Parce qu’ils n’ont pas la même signification pour tous ou chacun. Soit que l’on permette l’utilisation des symboles, soit qu’on la refuse. D’une façon ou d’une autre ils seront. Les mots que vous lisez sont de symboles. Devrait-on les interdire? Tout comme il est des propos diffamatoires, il est l’utilisation de symboles diffamatoires. Le problème n’est pas le mot ou le symbole mais l’intention.

Il faut faire un procès d’intention, pour dire qu’un symbole, ou un propos est diffamatoire. ALors la Vérité, pour ceux et celles qui y croient, c’est que le juge de l’intention est souvent le coupable de la mauvaise utilisation de ce symbole.

Donc cachez ce sein que je ne saurais voir et l’enfant mourra de faim. Abolissons tous les symboles, …………;.;.;…….;………..

Bertrand (@BDmoi)

L’expérience ou l’éducation?

La photo jointe démontre absolument la façon indescriptible dont on fait la sélection du personnel dans les entreprises. Toutes les personnes ont de l’expérience qu’elles ont acquise ailleurs et de l’éducation qui a été donnée sur de la théorie. Donc à prime abord, tout le monde est mal équipé pour la tâche dont on veut les charger.

J’ai enseigné la gestion du personnel. J’ai enseigné autant la gestion bétail que la gestion des relations humaines. Mais il n’existe dans le curriculum de cours sur la façon de déshabiller un être humain et déceler ses dispositions. La plupart des gens, veulent des personnes qui vont fonctionner dans leur entreprise avec le minimum de formation et de supervision.

La tâche d’un gestionnaire est de former et de superviser les opérations de son département. Donc, dans le processus d’emploi, on a affaire à un extra-terrestre et la personne qui va diriger l’employé n’a aucun droit de regard sur l’employé qui va être choisi.

Jean Bottari @JeanBottari

Imaginez une formation de préposé complète offerte gratuitement et avec salaire, dans les établissements de santé du Québec. Je crois que ce serait la meilleure façon d’attirer de nouvelles personnes vers ce métier tout en lui redonnant ses lettres de noblesse. #CHSLD #polqc

C’est d’après moi, la façon la plus logique d’engager. Il y a plein de monde qui ont les qualités pour les emplois dont on dispose. Mais, on cherche des exécutants alors qu’on veut des humains dédiés. Avant de donner une formation pour voir si les gens sont dédiés, il faut les interroger sur leurs dispositions et leurs réalisations passées. Dans le doute on peut s’essayer sur une personne et voir si elle a les dispositions.

Qu’est-ce qui vient en premier? D’après moi la sagesse d’une personne qui interagit avec une autre personne. Mais ce n’est pas ce qu’on fait. On cherche, à meubler, combler, un poste plutôt qu’une personne qui va évoluer dans une entreprise. C’est valable partout.

Il n’y a pas de grille d’évaluation d’expérience et d’éducation qui tienne compte de ces facteurs. Il faut, d’abord et avant tout, trouver et le mot est bien trouver, car elles existent, les personnes prédisposées à l’emploi. Ensuite faut-il les soutenir. Et alors on aura des gens heureux en emploi . Mais le dieu $ prévalent, on met le moins de ressources dans ce qui est la ressource première de toute organisation, et on laisse au hasard le choix de cette ressource.

En cette période de grande opportunité pour les gens, le plus grand cadeau que l’on puisse faire à un entreprise n’est-il pas un employé heureux qui fait naturellement ce dont il est doué?

Bertrand (@BDmoi)