Que suis-je?

Que suis-je? Une question que plusieurs se posent mais ne cherchent pas vraiment la réponse. Ce ne faisant pas? Ils continuent inlassablement les mêmes gestes et les mêmes comportements.  Et puis? Ah bien ça est quelque chose que l’on ne peut répondre qu’avec des observations bien minuscules par rapport à la quantité.

On extrapole des principes par rapport à nos observations, plus ou moins personnelles. De plus en plus de gens prennent leurs observations sur les réseaux sociaux et sur internet. Mais là n’est pas la réalité. C’est un miroir qui est déformé et envoie une version tronquée de la réalité. Les nuances y sont rares et difficiles à établir à moins d’avoir des conversations. Tout un chacun peut s’introduire dans une conversation agréable et utile et y déverser plein de fiel et d’attaques personnelles.

Plusieurs  disent ,mais on peut bloquer l’individu. C’est vrai. Mais cela ne change rien à la conversation qu’il a détruite. Pour peu qu’une conversation s’allonge, la probabilité que ça arrive augmente. Et ils font détourner la conversation vers des échanges interpersonnelles.

La question que je me pose est celle-ci. Combien de % des gens cela prend-il pour empoisonner combien de % des conversations. À moins de bloquer, on n’a aucun contrôle sur qui est abonné à nous. Faut-il vraiment cacher la réalité pour vivre agréablement? Sur Twitter, comme dans la vie, on a le choix d’ignorer la réalité ou bien d’absorber le choc, jour après jour.

On parle de problèmes de santé mentale. Mais n’est-ce pas, à l’instar des baleines et poissons, une détérioration des conditions offertes à la vie qui est en cause? Que viennent faire les baleines et poissons? Tout simplement ils meurent et se reproduisent de moins en moins. Ce n’est certainement pas dû à la surexploitation et à la détérioration des conditions de vie. Un dauphin qui meurt avec 6 kilos de plastiques dans l’estomac souffrait sûrement de trouble bipolaire. Autant que celui qui est mort dans les filets de pêcheurs de thon.

Non, la maladie mentale est induite. On parle que ce sont les techniques de diagnostics qui ont évoluées et se sont améliorées. J’y crois de moins en moins. Il est d’un intérêt économique de multiplier les cas. Les pharmaceutiques font des profits incommensurables avec les antidépresseurs et antipsychotiques et autres panacées de bonheur.

Je me pose sérieusement la question suivante. La folie répandue dans la société est-elle du côté de ceux qui voient la réalité et ne peuvent l’assumer ou est-elle du côté de ceux qui ne voient rien passer et vivent leur vie égocentrique.

Ce matin il est passé une histoire où l’on parle d’un voilier qui disparaît à l’horizon. La personne est triste de le voir disparaître. Le voilier lui n’a pas disparu, il s’est déplacé. Mais la réalité est telle. On doit l’assumer. Pourquoi doit-on tout ramener à soi.

La santé mentale n’est-elle pas de savoir que le voilier s’est déplacé au-delà de l’horizon et que la Terre… Mais l’aspect que beaucoup, et je parle de la majorité des gens, voient c’est que le voilier a disparu. Tout est jugé par rapport à soi.

Parler ainsi semble rude et très plate. Pas de poésie et pas d’émotions. Celles-ci sont surappréciées. Carburer aux émotions est aussi dommageable et dévastateur que de vouloir manger du chocolat continuellement et pas de brocoli jamais. Premièrement on s’habitue au chocolat et il en faut des quantité de plus en plus grande pour avoir le même effet et finalement se rendre compte qu’on est accro au chocolat et qu’il ne nous procure plus de bien mais qu’on est mal quand on n’en a pas. 

Tout est dans l’extrême et l’extrême de un est bien rarement le même extrême de l’autre. Tout ça pour en arriver à la conclusion, est-ce le monde qui est détraqué, la planète, les humains, l’atmosphère…? Alors que l’on aurait besoin de quelques humains pour assainir la situation, ils sont trop occupés à voir à leur bien-être. Seuls les gens munis d’un gros égo trouvent l’énergie et la folie de se mettre en avant pour être vouloir le bien des autres, mais on a surtout, il y en a des bons, des gens qui veulent notre bien à leur manière.

On sait que, matériellement, nos conditions de vie sont en jeu. L’atmosphère, les ressources et tout ce qu’on utilise et que l’on a absolument besoin est de plus en plus rare. Mais individuellement on s’en fout. Ceux qui alertent dans ce sens sont traités de fous et de fanatiques. Comment se répartit la population sur cet axe? J’aimerais bien le savoir, réellement. Mais la réalité a perdu de son lustre.

Bertrand  (@BDmoi)

 

Peut-on espérer?

Peut-on espérer une atmosphère viable sur Twitter, quand il est question de politique?On peut l’espérer mais on ne peut y croire, du moins dans un laps de temps prévisible. Beaucoup sont absolument en symbiose avec un parto. Ils ne jurent que par la sainte parole de leurs gourous, chefs de parti.

Ils pensent par personnes interposées. Mais d’où cela vient-il? Quel est le moteur principal, pas le seul mais le principal? D’après moi c’est comme les habits. La masse vont dans des endroits où il existe du prêt à porter. C’est rapide, facile et c’est pas trop dispendieux. Mais il y en a qui vont chez des tailleurs, qui se font faire des habits sur mesure. C’est long, pénible et ça coûte cher. C’est réservé principalement aux biens nantis et aussi à quelques personnes de niveau modeste qui reconnaissent la qualité et le bien aller.

D’après moi il en est ainsi en politique. Alors ce qui est triste, c’est que beaucoup, une fois élaborée leur appartenance à un parti n’ont d’autres arguments que de vilipender les personnes qui ne sont pas d’accord avec leurs positions. C’est valable dans beaucoup de domaines mais, particulièrement fort dans le domaine de la politique.

Assister, captif, à un échange de ce type, sur twitter, est particulièrement éprouvant. Il est de notoriété Twitterienne que je suis opposé aux partis politiques, tous les partis. Ils font de quelques personnes, hors du commun et aptes à rendre de grand services, des adversaires qui s’excluent mutuellement de travailler ensemble au bien-être de la population.

Les partis réduisent à quelques coups de pinceaux, à la va vite, à quelques solutions faciles, la situation, bien complexe, de la société. On a du prêt à penser et des solutions présentées comme LA SOLUTION, à des problèmes qui en appellent au sensationnalisme. Alors, certaines personnes, ont pour opinion, pas réflexion, de répandre à tout vent, et qu’importe qu’une personne ne la croyant pas. On attaque la personne.

C’est triste mais c’est ça. Avec la campagne électorale en cours, excusez à partir du 23 août, l’atmosphère sera terrible. Peut-on espérer un amélioration sur les dernières campagnes précédentes? Oui on est en droit d’espérer. Mais, en toute logique et réalité, il faut s’attendre au pire. Les démagogues vont se faire aller. Ce qui est triste, c’est qu’il n’y a pas de possibilité de discussion.

Celle-ci commencent poliment et tournent vite au vinaigre. Il est impossible, actuellement, de discuter et d’évoluer ensemble vers une vision plus globale et plus réelle.

Alors espérons, mais peut-être, devrai-je changer ma position et bloquer les personnes qui n’ont autre argument que de descendre la personne en face d’elle virtuellement. Parler à un adversaire plutôt qu’à une personne humaine.

Bertrand (@BDmoi)

 

Optimiser?

Il est une chose d’optimiser mais une autre d’utiliser des techniques d’optimisation. Dans un cas comme dans l’autre cependant, il est question de performance à l’extrême. Optimiser peut vouloir dire performer pour atteindre le but fixé avec le maximum d’efficacité. C’est un vœu pieux qui ne s’atteint jamais. Parce que la perfection n’est pas de ce monde.

Alors à quoi bon? Tout d’abord les administrateurs, presque tous, se servent des techniques d’optimisation pour évaluer l’objectif pour leur section. Ceci devient le critère pour évaluer la performance. Donc, jamais il ne sera atteint. On parlera alors de déficit d’atteinte de l’objectif. Et l’on cherchera un coupable, pour expliquer le déficit. Un bon exemple de tout cela est le système de paie au fédéral, Phénix.

On savait, dès le départ, que les prétentions du système étaient surévaluées. Tous les experts, hors du processus, étaient d’accord. On pensait optimiser le système de paie, entendre diminuer le nombre de personnes travaillant à cette section. Mais  ça a donné lieu à un capharnaüm et pire encore un calvaire financier pour bon nombre de fonctionnaires.

Quand j’étais jeune, il y a malheureusement longtemps, mes parents m’ont inculqué que le mieux est l’ennemi du bien. J’ai compris depuis le temps que, bien qu’on fasse attention et que l’on tente de prévoir tout, c’est impossible et il y aura toujours des impondérables. Mais pourquoi s’y prête-t-on?

Cela tient au fait de certains administrateurs qui prouvent ainsi pouvoir faire mieux que les autres. Ils peuvent vendre des chimères aux politiciens et sous-ministres. Toutes les études que l’on commande, sont basées sur des techniques d’optimisation. Toutes se révèlent des châteaux en Espagne. Des gouffres financiers et des déceptions en terme de rendement.

Le C-Series est un bon exemple aussi. Il a coûté une fortune à développer. On a réussit, supposément, à améliorer les performances des avions de cette catégorie. Le meilleur avion. Ouais, pis. Le mieux est l’ennemi du bien. On n’a pas les reins assez solides, entendre la confiance, pour supporter l’intégration de ce joyau dans une monde surpeuplé de géants.

Alors optimiser? La seule place où j’aimerais qu’on optimise, c’est dans la satisfaction des besoins humains. Nourrir ceux qui ont faim, loger ceux qui n’ont pas de toit, finalement écouter ceux qui ont quelque chose à dire. En gros s’occuper de nos aînés dignement et s’occuper de gens selon les besoins qu’ils expriment.

On essaie d’optimiser l’éducation pour les besoins des entrepreneurs. Puis-je dire que l’on prend la mauvaise route? On investira dans des conditions physiques pour ne pas se préoccuper des questions humaines. L’apprentissage de la langue et du monde demande un investissement massif dans le rôle de l’humain pour transmettre le savoir de l’humain. Mais on cherchera à optimiser en investissant dans l’Intelligence Artificielle. Cela donnera-t-il les robots intelligents que les entrepreneurs attendent? J’en doute. Pendant ce temps on a un taux de décrochage, qui augmente, de 30%.

Bertrand (@BDmoi)

 

Les gens veulent du changement?

Les gens veulent du changement? C’est ça le drame. Ils veulent du changement depuis des lustres, et ils en obtiennent. Mais changement ne veut pas dire amélioration. Et on n’en a certainement pas eu.

Quand on est rendu à dire, pour le parti libéral, “le changement dans la continuité” c’est que l’on est rendu dans le monde des Denis Drolet. Les principes ont disparu. Il n’y a plus de principes de loi qui tiennent. Tout est rendu du cas par cas. Personne n’est plus responsable de rien et aucun coupable à toutes les inhumanités qui se passent de façon régulière.

Pourquoi en sommes-nous rendus là? Parce que chacun a son mot à dire, sous l’impulsion de quelque émotion que ce soit. On se défoule mais on ne pense même pas à agir. Y a des casseroles qui se perdent.

Pour qu’il y ait un changement profitable, il faut changer la recette. On a beau mélanger les ingrédients que l’on incorpore mais, après avoir mijoté quelques temps, ils en viennent tous à avoir le même goût et la sauce, finalement, ne change pas.

Alors, notre recette de partis politiques demeurant, on aboutit au même résultat. Des gouvernements déconnectés, soumis aux affres des administrateurs de la fonction publique, qui ne sont imputables de rien. On les transfère de niveau d’incompétence à niveaux de plus incompétence.

Toute la hiérarchie est malade. Et nous n’y pouvons rien. Ce qu’il faudrait pour changer tout ça, un objectif centré sur les humains que l’on doit desservir et une réelle évaluation des ressources affectées pour y parvenir. Mais les humains sont isolés les uns des autres.

Cet isolement se propage à vitesse grand mghertz. La technologie remplace ce qui jadis était le mode de vie. Les contacts humains diminuant, et c’est un fait, il reste le monde virtuel. Celui-ci véhicule difficilement les émotions et les nuances. Les choses circulent à une vitesse telle, que seuls les extrêmes attirent l’attention, brièvement, comme dans un gigantesque feu d’artifice qui n’arrête jamais.  Chacun voit passer ces effets et n’ont pas de contact ni de temps pour décanter la signification de tout ça.

Alors du changement? Par quelle opération du saint-esprit pourrait-il survenir un changement significatif? Un changement dans les sens du regroupement. Les groupuscules ont de plus en plus d’influence et font de plus en plus bouger les gouvernements dans leur sens, et on perd de plus en plus la notion de vivre ensemble selon les mêmes règles. Donc en résumé, plus ça change, plus c’est pareil? On dirait plutôt qu’on change lentement du meilleur vers le pire.

Bertrand (@BDmoi)

 

À quoi bon?

À quoi bon? À quoi bon continuer? Continuer le système électoral basé sur les partis politiques et le gouvernement majoritaire d’élus de 34% des citoyens qui se sont présentés aux isoloirs(70%). On va avoir une période électorale dans quelques jours. Une élection prévue pour le 1er octobre 2018. La campagne dure depuis le mois de janvier et les dépenses ne sont pas tenues en ligne de compte par le DGEQ.

Je soupçonne que 80% des votes réels, sont déjà engrangés. Il y a bien des gens, qui, se posent sérieusement la question sur le meilleur vote possible. Ils sont très peu nombreux. La plupart des votes sont déjà fixés pour un parti ou pour un autre. Tout ça pour dire que environ 8 à 10% des électeurs qui vont se rendre dans les isoloirs vont décider de qui va gouverner pour les 4 prochaines années.

Démocratie? Hum!!!! Très peu pour moi. On me demande souvent ce qu’il faudrait et à chaque fois je réponds la même chose. Moins de pouvoir au gouvernement, pas de parti politique, des individus élus personnellement, responsables et imputables.  Comment? 100 élus pour représenter les citoyens et voir aux intérêts de ceux-ci.

La répartition des 100 élus? 1 président d’assemblée, 99 élus ayant un droit de vote. Vote sur quoi? Lois régissant les relations entre les citoyens. Ces lois doivent recevoir l’aval du peuple par voie de Référendums périodiques.

Plein de modalités peuvent se développer autour de ce modèle. Mais cela n’arrivera jamais. Personne ne veut toucher à la constitution parce que le pays va tomber dans un déchirement total. La confédération va même être remise en cause.  On n’aime pas la chicane ici.

Alors, à quoi bon? On accepte que des individus aient été grassement payés pour adopter un système de paie totalement merdique, qu’il n’y ait personne de responsables, et pendant ce temps des milliers de loyaux serviteurs de l’État sont dans la merde financière. Parlant de merde, les gens dans les CHSLD baignent dans la leur pour diverses raisons administratives. Et tout le reste.

Tout ça va se régler par lui-même quand les baby-boomers seront décédés. Mais ça c’est dans 20 ans et d’ici ce temps là bien de l’eau aura coulé sous le pont. Mais le système électoral perdurera et la confédération canadienne survivra ou pas. La mort de celle-ci ne viendra presque sûrement pas du Québec, mais, de l’Ouest. Donc, à quoi bon n’est pas un cri de découragement mais un regard lucide qui se veut un art de vivre sereinement, faire le bien autour de soi, ne pas se préoccuper de l’actualité et vivre le jour selon notre environnement proche.

Les avancées technologiques nous permettant le rapprochement des individus, est illusoire. Le salut est dans la proximité. Small is beautiful.

Bertrand (@BDmoi)

 

S’évader ou fuir?

Il est de mon observation que les gens ne vivent pas. Je ne sais ce qu’ils font mais ils confondent bouger et vivre. Pour bouger, ils bougent. Courent à droite, courent à gauche, reculent et avancent. C’est cette notion de direction qui m’a obsédé ce matin.

Les gens ne poursuivent pas le bonheur. Celui-ci, selon la plupart de ceux qui l’ont sincèrement trouvé, se trouve à l’intérieur et non à l’extérieur. Donc on ne peut poursuivre ce qui ne bouge pas. J’en suis venu à la conclusion, et cela est mon avis, que les gens s’évadent ou fuient. Ils s’évadent d’une prison ou fuient vers un autre lieu. La nuance est faible mais elle est là.

S’étourdir dans les comportements destructeurs ou fuir vers des apparences de meilleur. Ce qui résume le mieux la folie de ces déplacements c’est le slogan de Walmart: Économisez plus, vivez mieux. C’est complètement loufoque et ça marche il faut croire.

On achète des prix. La satisfaction ne vient pas du bien qui satisfait à un besoin mais du prix le plus bas payé pour l’obtenir. Au diable que le bien repose sur un besoin ou pas.  On accumule ainsi un tas de prix et on se trouve le ventre assailli de besoins non-assouvis.

Donc s’évader de soi ou fuir vers le vide des autres, revient au même pour ce qui est d’avoir le ventre vide et de n’avoir rien de nourrissant à manger. Il faudrait que les choses changent mais elles changeront pour le pire. Pourquoi? Parce que l’on montre aux jeunes ce que nous faisons et non ce que nous devons faire. Ils apprennent ainsi à reproduire le mouvement pour essayer de s’évader d’eux-mêmes (drogue, sexe, intimidation…) ou se projeter dans la fuite vers l’action (jeux extrêmes, de plus en plus sanglante dans les films ou les jeux vidéos ou autres)

En conséquence, 30% de décrochage scolaire, fuite vers des cieux qui semblent meilleurs, difficulté de trouver de la main d’œuvre à bon marché, tout ça, c’est la conséquence d’une déshumanisation des relations humaines. Comme plusieurs, je me sens isolé. Entouré de zombies qui se gaussent de ce qu’ils se sont procurés pas cher. Ils sont capables de vous dire tout ce qu’ils ont payé pour un paquet de biens inutiles.

Donc courir au magasin pour s’évader de soi ou fuir vers l’accumulation de bien ( contrairement à fuir d’une situation déplorable ou insatisfaisante) semble le sort de beaucoup, beaucoup de personnes.

J’ai 3 fils. 2 qui sont complètement à côté de ce comportement. Mais j’en ai un qui lui est complètement embarqué dans cette crise du mouvement. Alors que faire? Attendre qu’il se plante et se réjouir s’il ne se plante pas. Mais je suis las d’attendre que ceux autour de moi se plantent. Donc je vis mon bonheur, avec celui de mes deux autres fils, mais il est toujours teinté un peu de l’herbe brune que l’on voit sur les gazons desséchés des autres. J’essaie de faire changer certaines personnes mais, vu que je ne charge rien, mon avis est sans valeur. Tout, pour être d’intérêt, doit coûter quelque chose mais. le moins cher possible.

Bertrand (@BDmoi)